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 ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble.

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Kwon Hyun KiKwon Hyun Ki
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je suis ici depuis le : 25/07/2010
love status : célibataire.
animal de compagnie : chouette; chouquette. &. si elle picore mon front, je la fais cuire ! ... Euh. Non.
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je me trouve ici : dans un monde imaginaire.

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MessageSujet: ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble.   ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble. EmptyJeu 5 Aoû - 9:56

I’m getting tired of asking ;
This is the final time;
So did I make you happy ?
Because you cried an ocean
When there’s a thousand lines
About the way you smile
Written in my mind.


    Chaud. Il faisait chaud. Un peu trop chaud peut-être ; mais était-ce du à la température de l’atmosphère ? Non. Il avait chaud. Très chaud. Et il n’y avait pas de raisons quand à cela. C’était un peu comme des bouffées de chaleur qui le prenaient, sans crier gare, lui faisant doucement perdre la tête et le sens des réalités. Malade. Peut-être l’était-il. Mais il ne se sentait pas bien du tout, c’était sûr. Plusieurs fois il s’était passé la main sur le front, essuyant les quelques gouttes de sueur qui perlaient à son front parfois, quand la chaleur lui faisait tourner la tête. Il fallait qu’il s’éloigne, qu’il aille loin, dans son lit, tiens. Dormir un peu. Se reposer, penser à autre chose. Prendre une douche froide ? Ou avaler des litres et des litres de bouteilles d’eau. Non, il y avait mieux : aller se baigner. Mais il n’avait pas envie, il y avait un peu de vent aujourd’hui, il allait choper la mort. Laissant tomber l’idée d’aller voir ses frères et sœurs, ce n’était pas la peine, ils y pourraient quoi au fond ? Pas grand-chose. Rien. C’était certain. Aller à l’infirmerie ? Non, cela allait passer. Et puis, il ne s’était pas cassé un bras, pas de quoi alerter tous les médecins qui – même s’ils étaient présents exprès pour les accidents de ce genre – ne méritaient pas que l’on les dérange pour « si peu » dixit Hyun Ki. Non, monsieur aujourd’hui sentait un réel besoin de s’éclipser, d’aller voir ailleurs, de sentir le vent contre sa peau, de s’étirer, de courir. Courir à en perdre haleine avant de s’étaler sur le gazon. Ou quelques autres idées saugrenues du genre. D’habitude, il voulait simplement rester ici à travailler, dans la bibliothèque, avec ses amis, calme, tranquillement. Aujourd’hui était tout l’inverse, il voulait courir, voler, prendre son balai ? Non. Pas envie de remonter au dortoir. Mais courir oui, c’était une excellente idée, quoi que pas si excellente que cela dans le fond. Il allait être malade, il allait tomber, il en avait conscience, c’était l’idée la plus stupide qu’il avait, mais il s’en foutait. Oui, vous avez bien lu, Kwon Hyun Ki se foutait et ne se fichait pas de ce qu’il pouvait bien lui arriver. Kinda strange ? Yeah, for sure. Non pas qu’il fut innocent au point de ne jamais prononcer de gros mots – franchement, qui n’avait jamais laissé échapper des gros mots malgré lui ? Eh bien oui, c’était également arrivé au rouquin – mais disons que ce n’était pas dans ses habitudes de prendre avec tant de négligence … De lassitude peut-être ? Son état de santé et, honnêtement, si quelqu’un allait venir à tomber dans les pommes devant lui, il n’allait pas bouger. Il ne le pouvait pas, il ne le voulait pas. La crise adolescente, peut-être, mais une chose était sûre, aussi bien mentalement que physiquement, le jeune élève de seconde année n’était pas dans son état normal aujourd’hui. C’est pour cette raison que se levant subitement de la table sur laquelle il était posé avec ses amis, à parler de tout et de rien – surtout de rien à vrai dire – il s’en alla. Il n’avait pas prévenu, n’avait pas pris part à la conversation, n’avait pas adressé un seul sourire. Et cela, c’était le signe évident que le petit n’allait pas bien. Mais pas bien du tout, il souriait. Un peu. Beaucoup. A longueur de temps peut-être même. C’était un problème ? Non. Il possédait un sourire unique qui était capable d’emplir de joie quiconque le regardait. C’était ce qui plaisait en général. Son sourire, son visage … Mais surtout son petit sourire qu’il ne quittait jamais. Et aujourd’hui, il n’avait pas une seule fois étiré ses lèvres, il n’avait pas une seule fois entrouvert ses lèvres. Il se sentait mal et, bien sûr, certaines personnes lui avaient posé la question. Et une chose d’autant plus impensable s’était produite. Royalement, le geobuk les avais ignorés les uns après les autres, tous autant qu’ils étaient. Parce qu’il n’avait pas envie de répondre, parce qu’il se foutait d’eux, il se foutait de savoir s’ils étaient sincères dans leurs questions, cela ne les regardait pas s’il allait mal. Ce n’était pas leur problème. Alors qu’ils ne viennent pas faire semblant qu’ils s’intéressaient un temps soit peu au jeune homme. De toutes façons, il en avait conscience, ils ne l’approchaient que parce qu’il était une bonne poire, rien de plus, rien de moins. Peut-être que certains étaient sincères dans le lot, mais là, le jeune kwon subissait une baisse de moral assez radicale qui faisait en sorte à ce qu’il vint même douter du fait que son grand-frère Na Yung était réellement une icone, une idole, son modèle. La personne qu’il souhaitait être quelques années plus tard. C’était triste, mais c’était ainsi. Ce n’était pas de sa faute, et personne ne le blâmera pour cela. Hyun Ki était malade. Il avait mal. Mal au cœur, mal à la tête, et ces bouffées de chaleurs interminables qui secouaient son corps de frissons désagréables. Ses joues avaient rosis depuis le temps. Il était devenu rouge tomate, il étouffait, il fallait qu’il court. Maintenant.

    Il empoigna une bouteille d’eau, et s’élança. Sortant du château, il courrait. Vite. Peut-être un peu trop, se concentrant sur le sol, voyant successivement goudron et gazon se succédait, il savait que s’il levait la tête, il allait tomber. Dans les pommes, faire un malaise, comme vous voulez. Il n’était pas bien, et sentir le vent si froid fouetter son visage lui faisait du bien. Il avait l’impression de sentir des milliards de couteaux se planter dans son corps, il avait mal, il voulait crier, hurler à tout le monde – ou presque – qu’il avait mal et qu’il souffrait affreusement, qu’il fallait que l’on l’aide. Mais la seule chose qu’il parvint à faire fut continuer à courir. Laissant libre court à des larmes qui préférèrent rouler le long de ses joues, silencieusement. Les yeux meurtris, rouges, gonflés, il ne voyait plus, il fermait les yeux, pleurait discrètement commençant à doucement ralentir la cadence. Mais ses jambes refusaient purement et simplement de s’arrêter, de lui donner un peu de répit. Comme son corps souhaitait le pousser à bout, qu’il tombe, se déchire une quelconque partie de ses vêtements, qu’il se brise un os quelconque, qu’il hurle et appelle à l’aide, qu’il … se fasse mal. Il courrait encore, ne voyant pas les lieux défiler, ne se rendant pas compte qu’il était sur le point de pénétrer dans ce maudit labyrinthe qu’il ne connaissait pas. En tant que bon geobuk, il n’approchait pas ce genre d’endroits, trop peur de se perdre ou que quelque chose d’horrible s’y passe. Mais, encore une fois, il s’en foutait. Totalement. Il courrait, il avait mal et cela lui faisait du bien, paradoxalement. S’il était complètement givré – et je parle de son corps autant que de son cerveau – au moins, les bouffées de chaleur l’avaient quitté et il se sentait mieux. Il avait beau se convaincre de cela, son corps indiquait l’inverses, ses genoux rougis comme pas possible, son si beau visage entièrement souillé par les larmes, sa coiffure étant … n’étant plus.
    Mais finalement, Hyun Ki s’arrêta, prenant son visage entre ses mains alors qu’il s’accroupissait ; gémissant sans se rendre réellement compte de ce qu’il était en train de faire. Il perdait la tête, il devenait fou. Sans raisons apparentes. Mais il était trop jeune pour avoir une maladie grave, il se refusait à cela. Sa faiblesse était trop grande, elle prenait souvent le pas sur sa conscience en quelque sortes, bien que ce soit la première fois qu’il s’élance et qu’il court à en perdre haleine et à en perdre la vie tout court. Exagération ? Peut-être. Secouant la tête, il ouvrit sa bouteille d’eau et la but d’un trait. Comme si le fait qu’il boive de l’eau le fasse pleurer d’avantages. Ses larmes ne s’arrêtaient pas, oh non, elles n’étaient pas encore prête de le quitter. Elle faisait ressortir tout le mal-être qui se cachait au fond de lui et qu’il tentait de refouler vainement depuis quelques années … Quelques années ? Depuis toujours, oui. Lançant sa bouteille quelque part par là – chose qu’il ne faisait jamais, en tant que vert et or, il ne pouvait se permettre d’abîmer l’environnement, vous comprenez – il crut un instant voir quelqu’un, un peu plus loin. Il se sentait pas bien, la tête lui tournait atrocement et ces foutues bouffées de chaleur commençaient à revenir. Il fallait que l’on l’aide, c’était seulement maintenant qu’il en prenait conscience. Appelant vainement avec sa voix totalement éteinte – oui quand on pleure en courant, à la fin, on a plus de voix – il tenta tant bien que mal de rattraper la personne en question. Ou s’il y en avait une du moins, ce n’était pas qu’il pensait délirer, mais un peu quand même. Aller, tu as couru tout un marathon, tu peux bien faire quelques pas de plus. Il tenta de se hâter un peu, d’avancer vers la personne, mais soit elle allait trop vite, soit il était trop lent. Toujours était-il qu’il peinait à l’attraper. Sa vue se brouillait peu à peu, au fur et à mesure que son corps tremblait d’avantage, ne pouvant plus lutter très longtemps. Il marchait difficilement, et sentant tout son corps faiblir, il rabattit une de ses mains sur son visage, devant ses yeux, comme si cela allait l’aider à tenir éveiller encore un peu plus longtemps. Il plissa les yeux, se concentra un peu, et pu voir que la personne au fond n’était autre qu’une jeune demoiselle. Il tenta de l’appeler une fois de plus, mais sa voix était trop étouffé, trop faible pour que quelqu’un ne puisse l’entendre. Par chance, elle s’arrêta un instant, il ne savait pas vraiment pourquoi faire, mais il s’approcha d’avantage, et il la reconnut. Miracle. Ou malchance, oui ! … Ahn Soo Jin. Son premier amour d’enfance et dont il se souviendra probablement toujours. Le mot était un peu grand quand on savait qu’il ne l’avait pas reconnue du premier coup … Il s’arrêta à son tour, hésita, se mordit la lèvre et voulu faire demi-tour, non, ce n’était pas grave, il allait chercher quelqu’un plus, il ne voulait pas qu’elle le voit dans cet état. Non. Surtout pas elle. Mais les picotements qu’il ressentit au niveau de ses jambes, ses yeux qui se fermèrent automatiquement sans compter le fait que son ouïe le quittait peu à peu, le dissuadèrent rapidement de faire demi-tour. Tant pis. Il allait devoir faire avec. Rassemblant ses toute dernières forces, Hyun Ki appela dans un élan désespéré et dans une voix assez audible, enfin, du moins il l’espérait ; le prénom qu’il avait tant chéri.

    « Souh ; aide-moi ! »

    Puis plus rien. Le noir. Il était tombé. Prions qu’elle l’ai entendu …
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Ahn Soo JinAhn Soo Jin
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MessageSujet: Re: ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble.   ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble. EmptyMer 11 Aoû - 12:33

    C’était assise à la table des Muneo au réfectorium que tout a commencé. Pas plus tard que ce midi, des septièmes et des huitièmes années Ineo s’étaient approchés de leur table s’imposant carrément parmi eux alors qu’ils mangeaient tranquillement. À tour de rôle, ils avaient scrutés des yeux la longue table avant de se déplacer vers le coin où se trouvaient, selon eux, les plus jeunes de la maison. Là, ils s’étaient assis pour ensuite regarder ceux et celles qui se trouvaient devant eux et à côté d’eux, d’un air qui n’était pas moins qu’hautain. Évidemment, ils s’étaient fait dévisagés par les bleus qui leur avait sans hésitation demandé de partir. Mais bornés comme ils sont, les Ineo l’ont pris à la rigolade. Que voulaient-ils ? C’est bien ce qu’avait semblé se demander les jeunes Muneo. L’un d’eux avait alors prit la parole, le sourire aux lèvres, pour finalement leur dire subitement qu’ils leurs imposaient un défi. Des sourcils froncés, des airs intrigués... Les semblables de Soo Jin, ainsi qu’elle-même s’étaient tous regardés l’air de dire « Et puis quoi encore ? ». Toutefois, pas besoin de parler. Les garçons avaient rapidement remarqué leurs questionnements. D’abord, pourquoi devraient-ils y participer ? Nul n’avait eu le temps de prendre la parole, que les rouges s’étaient mis à leur expliquer. En gros, ils leurs avaient expliqués qu’entre leur groupe – pas les Ineo, mais les amis des garçons – ne cessait de faire des gages en tentant de deviner quelle maison, mis à part la leur, comptait les gens les plus courageux. Alors pourquoi s’en prendre aux plus jeunes ? Parce qu’ils disent que comme cela ne fait pas très longtemps qu’ils sont là, ils ne doivent pas connaître toutes les rumeurs et les histoires racontées, bien que plusieurs soient totalement fausses. Deplus, ils leurs avaient précisé qu’ils comptaient non seulement le faire avec eux, mais aussi avec les autres maisons excepté la leur, afin de distinguer les plus courageux des plus peureux. Ce qu’ils gagnent ? Ils voulaient voir qui méritaient le plus leur respect. Mh, ça c’est ce qu’ils leurs avaient accroire, car en faite, ils l’avaient dit-eux-même : tout ça n’était que des gages. En même temps, tout ça était ridicule. Surtout que Soo Jin s’en fichait elle. Elle n’avait pas besoin de ça, ni du respect de mec qu’elle ne connaît pas. Mais pourtant, cela avait semblé intéresser une couple d’entre eux qui leur avait soudainement demandé en quoi ce défi consistait. La réponse ? S’aventurer dans le labyrinthe et ramener un soi disant « objet magique rare », que tout le monde, même les professeurs désiraient. Le tout, parmi ces créatures magiques, ces bruits étranges et cette noirceur. Bien que cela semblait sonner totalement faux aux oreilles de plusieurs, tout à coup, Soo Jin se mit à s’y intéresser. En y repensant comme il le faut, elle avait entendu un semblant d’histoire venant d’un autre, il y a quelques années. Pourquoi est-ce que deux personnes parleraient de la même chose si c’était faux ? Il est vrai que cela pouvait être une rumeur. Mais il ne fallait pas oublier à quel point Jinnie pouvait facilement être naïve et soumise à sa curiosité. N’empêche, qui allait avoir le culot d’y aller ? Tout le monde savait qu’une fois entré, il était difficile d’en trouver la sortie. On racontait même que certains qui s’y étaient aventurés était ressortis le visage pâle en ne voulant pas parler, d’autres partaient la rumeur qu’il n’y avait rien à craindre alors que quelques-uns n’en sont toujours pas ressortis. Quelques fois, des élèves s’étaient plaints qu’il y avait des cris venant du labyrinthe. Il y avait de quoi de faire flipper, en effet, bien que chacun avait sa propre opinion de ce qu’on pouvait y trouver réellement. Bien qu’elle était de nature curieuse, Soo Jin, elle, n’avait jamais vraiment eu le courage d’y aller. Et pour tout dire, avec tout ce qu’elle avait entendu, elle ne savait vraiment pas quoi penser non plus. Et puis, certaines histoires semblaient très convaincantes. Dans tous les cas, la demoiselle avait simplement quitté la table, lorsque trois de ses compagnons l’avaient regardé avec certitude, ne leur donnant aucune réponse. Malheureusement, elle n’aurait pas cru qu’après des dizaines d’arguments venant de ses amis, elle aurait accepté. Enfin, à quelque part elle n’était pas non plus si difficile à convaincre et elle l’était moins lorsqu’on ne cessait de titiller sa curiosité. D’où le fait que dans un soupir, elle avait secoué la tête pour finalement les rejoindre.

    Les voilà maintenant qu’ils s’y retrouvaient, l’air incertain, une grimace au visage et l’hésitation les envahissant à grandeur. Il y a des fois où il est facile de parler de choses, où l’on dit qu’on le ferait. Mais quand vient le temps de le faire, on se rend compte que finalement, c’est loin d’être aussi facile. Et c’était le cas en ce moment. Ils s’étaient promis de ne pas se séparer, après tout, ils en avaient pour des heures à être là-dedans et s’il y avait un danger quelconque, il valait mieux l’affronter à quatre plutôt que seul. Que cela ne tienne, Jinnie était loin d’avoir le sourire aux lèvres. Mais comme ils se tenaient tous la main, elle n’eut pas le choix que d’entrer avec eux, marchant très lentement, les yeux et les oreilles plus qu’attentifs au moindre bruit, au moindre mouvement. D’ailleurs, à peine avait-elle franchie cinq mètres que des frissons la parcouru, dû à l’atmosphère dans laquelle elle se trouvait. Ce qu’elle ressentait en ce moment-même était semblable aux fois où elle s’était promené seule dans un cimetière. Autrement dit : tremblante et en ayant l’impression qu’elle était constamment surveillé par quelque chose. Sauf que là, elle était coincée entre au moins deux murs dont l’issue de sortie était assez presqu’inexistante. Le dilemme ne vint seulement lorsqu’ils arrivèrent devant trois chemins menant tous à une direction différente. Un silence s’était installé alors qu’ils se regardaient tous, l’air de se demander où aller. Elle cru qu’il valait mieux ne pas rendre les choses trop compliquées et toujours continuer en ligne droite, ou alors se rappeler correctement du chemin emprunté pour ne pas se perdre en créant une sorte de pattern facile. C’est là que l’un d’entre eux se mit à prendre la parole disant qu’ils pouvaient au moins se séparer deux par deux.

    « On avait dit tous ensemble. »
    « Oui, mais tant qu’on n’est pas seuls, ça va. »
    « Non ça ne va pas. On ne sait même pas ce qu’il y a là-dedans. Et s’il arrive quelque chose ? »
    « Tu cries ! »


    Elle les dévisagea un moment. Puis le plus leader des quatre leur donna des indications. Une fois cela fait, les deux mecs allèrent dans le corridor de gauche alors que Jinnie et sa copine se devait d’aller dans le corridor de droite. La Muneo les regardait alors s’éloigner. Elle n’était pas sûre du tout de ce qu’ils faisaient et tout ce qu’elle voulait à l’instant, c’était de retourner sur ses pas, avant de trop s’aventurer là-dedans. Ainsi, son regard se posa sur son amie. Puis avant même qu’elle n’eut le temps de lui dire quoique ce soit, un drôle de bruit se fit entendre. On aurait dit un genre de souffle, telle une respiration, accompagné de pas. Toutefois, la direction dans laquelle cela semblait venir était plutôt difficile à trouver. Mais par réflexe, Soo Jin écarquilla les yeux, ses pieds toujours immobiles, tournant sa tête pour regarder derrière elle. Rien, elle ne voyait pratiquement rien, voir pas plus d’un mètre devant elle. Elle avala de travers. Puis elle se retourna vers son amie. Apparemment, elle avait elle aussi entendu ce bruit dérageant. Toutefois, plutôt que de rester avec elle, sa copine se mit à faire des « Euuh » terrifiée pour finalement courir dans le corridor qu’avait emprunté les garçons quelques secondes auparavant, laissant la jeune Ahn seule face à ça. Un souffle s’échappa alors de sa bouche, pendant que la jeune Muneo tenta d’interpeller son amie pour la retenir. Mais aucune réponse ne vint, comme si tout à coup, elle s’était ramassée trop loin. À son tour, ce fut elle qui lâcha un petit gémissement, faisant une moue pour démontrer qu’elle n’aimait pas du tout. Génial ! Maintenant, elle était seule, dans un calme terrifiant et dans l’hésitation de faire un pas de plus. Néanmoins là, elle sursauta en entendant ensuite quelque chose ou plutôt quelqu’un s’effondrer au sol, près d’elle. Du moins, c’était l’impression qu’elle avait ; que c’était près d’elle. Parce qu’avec cet écho… Sa tête se tourna dans toutes les directions, tentant de trouver d’où cela pouvait provenir. Elle voulu se faire toute petite. Heureusement, elle avait encore cette chance de faire demi-tour pour atteindre l’entrée et ressortir. En même temps, elle ne pouvait pas non plus laisser ses amis tout seuls dans le labyrinthe. Même si en ce moment, c’était plutôt elle qui était seule. N’empêche que cela était trop pour elle. Et sa peur la fit revenir sur ses pas, empruntant à nouveau le petit corridor par lequel elle venait de passer. Là, la demoiselle était grandement aux aguets. Et si quelque chose ressortait subitement d’un mur pour l’attaquer ? Peut-être que ce bruit n’était que pour attirer son attention, après tout. Juste à cette pensée, son cœur se mit à battre un peu plus vite, jusqu’à ce qu’elle n’ait parcouru un mètre et n’entende. « Souh ; aide-moi ! » Son regard se figea alors devant elle, arrêtant tout geste. Avait-elle bien entendu ? Souh. Il n’y avait qu’une seule personne en ce monde qui l’appelait comme ça.

    « Hyun Ki ? » fit-elle intriguée.

    Comme elle n’avait pas de réponse, sa marche se fit plus rapide vers la même direction qu’elle comptait aller, pour finalement s’arrêter à une certaine hauteur. Malgré la noirceur, elle parvenait à voir quelque chose par terre. Alors elle se pencha pour ensuite réaliser que c’était en fait quelqu’un. Elle le retourna doucement vers elle et reconnu sans hésiter celui qu’elle croyait. Elle employa une voix faible.

    « Hyun Ki, est-ce que ça va ? »
    Aucune réponse. « Hyun Ki ? »

    Toujours pas de réponse. Vite fait, ses yeux le scrutèrent pour voir s’il n’était pas blessé ou quoique ce soit, l’air un peu paniqué. Heureusement, ça ne semblait pas être le cas. Mais elle pinça les lèvres. Comment s’était-il ramassé ici ? Avait-il lui aussi été soumis à ce bordel de défi ? Doucement, elle passa une main sur son visage, murmurant son nom en espérant qu’il ouvre un minimum les yeux. Lorsque ce fut le cas, elle se déplaça pour être derrière lui et le redresser un peu.

    « Hiki, qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que tu fais-là ? »

    Faut dire que ce n’était pas du tout l’endroit pour qu’il lui arrive quelque chose. Même si pendant cet instant, elle avait complètement oublié les trois autres qui tranquillement, se perdaient sans doute dans ce mystérieux labyrinthe.

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Kwon Hyun KiKwon Hyun Ki
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MessageSujet: Re: ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble.   ;cause you're caught up in my jungle, a tangle, i want you to dangle in my jungle, you fumble. EmptySam 14 Aoû - 7:20

    « Hyunki, est-ce que ça va ? »

    Un cri, perdu dans le vide. Un prénom, parmi tant d’autres, un appel vain et étouffé par le bruit des feuilles frémissant sous le vent qui s’était doucement levé. Un long rêve douloureux. Il venait d’en vivre un, perdu entre deux murs de verdure. Le mal qui s’était préalablement emparé de lui le faisant peu à peu perdre tout sens de réalité ou pas. Un malaise, il avait horreur d’en avoir, il ne savait plus où il était, ce qu’il faisait, ce qui lui arrivait. Et ces foutues bouffées de chaleur qui formaient comme une enveloppe autour de lui, une bulle qui l’empêchait de faire quelque chose, de bouger, de parler … De respirer même. Dans son profond sommeil, Kwon Hyun Ki était agité, un peu trop. Et c’était clairement visible. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front alors que d’infimes larmes se mettaient à rouler le long de ses joues. Mal, il avait mal. C’était affreusement douloureux, il ne rêvait pas, il n’était pas conscient pour autant, il était entre les deux. Se battant contre son subconscient et son conscient pour que l’un d’eux prenne le dessus et arrête de lui infliger cette torture. Cette torture qui n’avait rien de doux, qui ne servait uniquement qu’à le renforcer dans son idée de mort. Il pensait qu’il allait mourir jeune, il savait qu’il allait mourir jeune. Ses douleurs cardiaques lui faisaient tellement mal qu’il ne les supportaient plus aussi bien physiquement que mentalement. En plus de lui détruire son existence, de l’empêcher de faire ce qu’il désirait, il fallait qu’il vive avec en plus l’idée qu’il n’allait pas pouvoir vivre assez longtemps pour fonder une famille, qu’il était … Condamnée. Il fallait se faire à l’idée, la seule famille qu’il ai jamais fondé fut en pixel, quand lui et sa chère et tendre Soo Jin décidèrent de se marier à l’époque du bac à sable. C’était que le jeune geobuk avait été sérieux quand il avait osé lui demander d’adopter des enfants tamagoshis avec lui, et de demander à son cher grand frère Na Yung si c’était possible de trouver une robe de mariée pour sa dulcinée. Elle était plus vieille ? Rappelez-lui depuis quand l’amour avait un âge. Et puis, il était jeune, ignorant et stupide. Quoi que, à l’époque il l’était mais qu’il n’avait pas vraiment évolué depuis. Simplement un peu mûri. Quand il y repensait, il se trouvait fort stupide à cette époque-là. Mais, après tout, c’était mignon dans un sens. Pourquoi se surprenait-il soudainement à penser à Soo Jin alors qu’il était souffrant, qu’il gémissait sans retenue - pensant être seul - alors que sa tête bougeait de droite à gauche. Haletant. Souffrant. Des sons aigus s’échappaient de sa bouche alors qu’il peinait à respirer. Si un quelconque dieu existe sur cette terre, prenez pitié, laissez-le en paix. Pourquoi n’avait-il personne à ses côtés ? Pourquoi est-ce que son grand frère tant admiré Na Yung, était absent alors que Hyun Ki souffrait et avait besoin de lui ? Pourquoi son protecteur était-il absent ? Entre deux gémissements, le cadet laissa échapper leur deux prénoms désespérément. « Hyun Ki ? » Ils étaient là ? Son appel n’avait pas été vain ? Le jeune geobuk tenta vainement de se calmer, se concentrant un maximum sur ce qu’il se passait aux alentours. La seule chose qu’il parvenait à entendre ne fut rien d’autre que sa respiration, le vent beaucoup trop froid fouettait son corps entier. C’était comme si des milliers de piques traversaient son corps de part en part, ses oreilles spécialement, il poussa un nouveau gémissement cette fois alors que ses mains agrippèrent ce qu’elles purent, de l’herbe. Fraiche. Cela faisait du bien, et il avait l’impression d’avoir « troué » cette espèce de bulle protectrice chaude. Cette bulle de chaleur qui le faisait tant souffrir. Arrachant un peu d’herbe dans sa main afin de la serrer contre sa paume dans le but de chercher cette fraicheur tant désirée qui ne le heurtait pas. Tremblant, il tenta d’éloigner un peu sa main afin d’en avoir encore et de pouvoir en poser sur son front; vous savez, on fait comme on peut avec les moyens dont on dispose. Et si cette herbe était dans la capacité de crever ces bouffées de chaleurs insoutenables, alors il ferait avec. Mais alors que sa main glissait sur la verdure, elle toucha quelque chose … Ou plutôt quelqu’un. Inconsciemment, il fronça les sourcils. Dieu, il faisait chaud, mais les soubresauts qui secouaient son corps et son cœur semblaient se calmer légèrement. Il y avait bel et bien quelqu’un avec lui ? Son grand frère certainement. Il le savait, il ne l’abandonnerait jamais quand bien même il ne lui montrait que peu d’attention. Après tout, il était son frère, et que font les frères ? Ils se doivent veiller sur leur chair et leur sang. Il le savait. Après tout. Kwon Na Yung était un être unique, un être exceptionnel, quelqu’un de merveilleux, son modèle, l’unique personne pour qui il serait réellement capable de mourir. Oui, enfin … Sauf si ses problèmes de cœur ne s’en occupaient pas avant. Il inspira profondément et expira. Il fallait qu’il se montre fort, qu’il soit digne d’être de la famille des kwon. Alors, fait un effort, ouvre les yeux, Hyun Ki. C’était trop dur; cette saleté de vent prenait un malin plaisir à torturer son corps. Quoi d’autre ? Les bouffées de chaleur reprenait, un petit instant de faiblesse, un instant de quelques secondes durant lequel il pensa à son frère, et ces chaleurs insupportables revenaient. Il était si faible, si fragile. Dans le fond, que faisait-il ici ? Était-ce pour cette raison qu’il avait des problèmes cardiaques ? Ne méritait-il point autant que les autres de vivre en ce bas monde ? Pourtant, il avait été privilégié en étant issus de sorciers, encore plus en étant la cadet d’une famille très aimante. Étouffante, non, mais aimante à tel point qu’il venait parfois à se demander si ce n’était pas de la pitié pour leur pauvre petit frère fragile et malade… « Hyun Ki … » Une nouvelle fois, un nouvel appel, subtilement susurré à son oreille. Cette voix n’avait rien de masculine, pire encore, il était certain qu’il ne s’agissait pas de son frère ou d’un quelconque membre de sa famille. Mais … il la connaissait, et la reconnaissait bien, oui. Il en était sûr, c’était elle. Il serait incapable de savoir qui l’appelle tant qu’il n’a pas vu le visage de la personne, mais pas elle, elle possédait une façon bien à elle de prononcer son prénom. Elle avait une manière délicate de lui parler comme s’il s’agissait du prénom le plus précieux qu’elle ai eu l’occasion de connaître jusque ici. Et peut-être cela avait été le cas il y a de cela quelques années, le problème étant que maintenant, c’était peut-être la seconde ou troisième fois qu’ils se croisaient, et encore. Le jeune geobuk étant beaucoup trop gêné pour pouvoir être capable d’aligner trois mots à côté d’elle. Que lui prenait-il, bon sang, ils n’étaient que des amis d’enfance, ou des amoureux du bac à sable, mais à ce moment là, on ne jure que par les mains qui se tiennent gentiment. Et c’est là qui la sentit, sa main, s’aventurer doucement sur son visage. Il n’y avait pas à dire, sa peau était décidément la plus douce que le jeune homme n’ai eu à toucher jusqu’à maintenant. Elle était si douce, si fraîche; doucement, ses bouffées de chaleur se calmèrent un petit peu. Hyun Ki se résolu à garder ses lèvres closes, empêcher que de nouveau gémissement ne franchissent ses lèvres abîmées. Abîmées ? Sans s’en rendre compte, le jeune sorcier s’était mordu les lèvres, allant même jusqu’à se les entailler légèrement. Il n’avait rien remarqué, c’était que toutes ces douleurs simultanées avait comme engourdi le reste, c’était la même chose pour sa main. Il avait serré tellement fort son poing que ses ongles avaient réussi à transpercer sa peau, sa paume de main étant en sang. Ces crises-là étaient fréquentes, voir même un peu trop à son goût, et à chaque fois il parvenait à se faire mal lui-même. Cela le faisait rire. Rire ? Oui. Un rire jaune, il se plaignait d’avoir mal, et lui n’arrangeait pas les choses. Vous ne trouveriez pas cela drôle ? Lui, si. Grow up and realize, that happiness is a lie.

    Il sentit sa tête se soulever, puis se reposer sur quelque chose d’autrement plus doux que ce foutu sol glacé. Il plissa les yeux, fronçant les sourcils, n‘ayant réussi qu‘à entrouvrir légèrement ses yeux, c’était si dur, c’était comme s’il y avait beaucoup trop de lumière pour lui alors que, dans le fond, il faisait tellement noir qu’il n’aurait été pas capable de voir ses pieds s’il aurait été debout. Dans la pénombre, il pouvait tout de même la voir, elle. Pas distinctement, juste des formes grossières. Hyun Ki avait l’impression d’être au ralenti, privé de ses sens. Ne voyant pas bien, n’entendant pas bien non plus, et sentant uniquement le vent glacial transpercer son corps de toutes parts. Ses pauvres petit yeux s’habituèrent soudainement à l’obscurité, et il la vit, elle. Ahn Soo Jin. Elle était si belle. Elle n’avait pas spécialement changé, gardant toujours ce visage un peu ovale et incroyablement fin, ses petits yeux rieurs et sa fine bouche … sa fine bouche qui semblait s’agiter. Il ne comprenait pas, n’entendait pas. Mais dès qu’elle lui demanda ce qu’il faisait ici, il se prit comme une énorme claque et tous ses sens lui revinrent subitement. Foutu subconscient, toujours à le traîner entre rêve et réalité. Sa respiration se bloqua deux secondes alors que le sens des réalités s’emparait de nouveau de lui, et il soupira bruyamment. Bon sang.
    Les sourcils de Soo Jin étaient légèrement froncés, pas en signe de colère non, en signe d’inquiétude, et seulement cela suffit à ravir le cadet des kwon. Il leva sa main, longea celui de Soo Jin avant de venir délicatement effleurer sa joue; un sourire niais se dessinant sur ses lèvres. Que faisait-il ici ? Oh. Il dansait les claquettes, c’était pas assez voyant ?

    « Je t’attendais. » Menteur. « Non, j’ai eu un affaiblissement cardiaque, tu sais, la routine, quoi … »

    Routine dont il se serait volontairement passé. Mais il devait sourire. Pour elle. C’est là qu’il se rendit compte que sa main était ensanglantée; enfin, il n’était pas encore aux portes de l’agonie à perdre deux litres de sang, mais. Immédiatement, il écarquilla de gros yeux et laissa retomber sa main. Il se releva assis rapidement. Trop rapidement, même. Une baisse de tension, la tête qui tourne et pof, il retomba en arrière en un gémissement aigus et plaintif, pouvant amplement laisser croire qu’il était sur le point de pleurer. Et c’était le cas, il avait tellement envie de se jeter du haut d’une falaise pour ne plus avoir à supporter cette interminable douleur. Mais il ne le ferait pas, n’étant pas du genre suicidaire, pas plus qu’il n’allait se risquer à pleurer devant la jeune demoiselle. Fermant les yeux de nouveau et faisant comme si rien ne s’était passé, il lui renvoya la question;

    « Et toi, alors ? Que fais-tu ici, Soo Jin ? »

    Pourquoi Soo Jin et pas Souh ? Parce qu’il s’était promis de ne plus l’appeler Souh. Trop honteux d’avoir du laisser des gamins dans un orphelinat pour tamagoshis. Elle, en revanche, semblait continuer à l’appeler Hiki. Et tant mieux, il adorait tellement ce petit surnom si cute. Il avait eu un moment de faiblesse tout à l’heure en l’appelant de nouveau par ce surnom, il se pinçait les lèvres à cette idée d’ailleurs. Pourtant, c’était trop tentant … Son enfant en lui ne pouvait s’empêcher de ressortir dès qu’il la voyait arriver. Tout comme ses sentiments enfouis.

    « N’aurais-tu point une bouteille d’eau, par hasard s’il te plait ? J … J’ai un peu soif … »

    Il ouvrit les yeux, lui adressa un petit sourire, et tenta de se relever de nouveau. En y allant progressivement cette fois-ci. Et il y parvint, s’époussetant ses habits couverts d’herbe avant de se tourner vers elle, il lui tendit sa main et l’aida à se relever. Sauf que, cette fois-ci, il se leva un peu trop rapidement de nouveau, faisant de nouveau tourner sa tête. Il bascula en avant, tombant sur la pauvre Soo Jin. Inconscient encore une fois, quoi que c’était un simple reflexe de fermer les yeux, il n’avait simplement plus de forces …

    « Ex … cuse moi, j’ai … trop mal … » Soufflé péniblement pour lui expliquer que, non, il n’était pas sur le point de la violer mais qu’il avait beaucoup trop de mal à se tenir debout … Que faire ? Attendre un peu, peut-être.
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