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 Girl it's real it's my confession

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Shin Kyung JeeShin Kyung Jee

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je suis ici depuis le : 13/06/2010
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animal de compagnie : Théoriquement aucun ... mais Saja se laissera un jour adopter. Oui petit minou .-. ♥
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Girl it's real it's my confession _
MessageSujet: Girl it's real it's my confession   Girl it's real it's my confession EmptyMer 15 Sep - 17:19

    R atter son baiser pour les nul ; cours 101. Non, évidement qu’il ne pouvait en rester là. Il avait exactement, deux heures devant lui pour terminer ce qu’il avait commencé. La règle était parfaitement simple dans sa tête, s’il ne l’embrassait pas avant que minuit sonne; tout prendrait fin. C’était une loi non-écrite. Un peu comme cendrillon en fait, elle n’avait qu’une seule chance et elle prenait fin avant minuit. C’était sans doute stupide, oui, puéril, mais important pour lui. C’était un peu comme si soudainement; à minuit, la jeune femme ne ressentirait plus aucun effet d’attirance pour lui. Ridicule, stupide ; Shin Kyung Jee. Leur bateau était arrivé rapidement, les emportant avec le peu d’enthousiasme que le capitaine pouvait avoir. Ils étaient sans doute leurs derniers étudiants à transporter de l’autre coté et sans doute était-il simplement dégouté d’avoir parlé, observé et dut endurer tant d’adolescents en chaleurs et complètement saouls. Oui, ça ne devait pas être facile pour un vieux marin de devoir supporter ce genre de chose en puissance mille lorsque nous étions un vieux garçon sans femme avec qui trouver une légère chaleur humaine le soir. Venait-il de plaindre le vieux antipathique qui venait de cracher contre son soulier? Uhn. Il soupira, s’approchant de sully un instant. Ses bras se passèrent autours de sa taille, lui offrant une certaine protection contre le vent frais qui s’amusait à bouger ses beaux cheveux. Sa peau froide le fit d’abord sursauter, lui, oui lui avait toujours chaud. Pourquoi? C’était quelque peu difficile à répondre, mais c’était ainsi. L’été il avait envie de mourir et l’hiver, sa température corporelle ne semblait pas avoir noté le léger changement d’extérieur. Oui, oui, la neige est présente seulement à des buts décoratifs et divertissants. Quoi qu’il en soit, le plus vieux posa ses lèvres contre son épaule dénudée, resserrant son étreinte alors qu’il glissait la pointe de son nez tout près de sa nuque. Elle était toute petite, si petite. C’était pratiquement d’autant plus pire maintenant, alors qu’ils regardaient tous deux droits devant. C’était peut-être le bon endroit; attendre la fin de la fête la rendrait certainement malade de nervosité, et d’autant plus qu’il n’arriverait pas à son but ultime. Et une fois arrivé sur l’ile, réussiraient-ils à trouver un endroit calme? Mmmmm. Non, je ne crois tout simplement pas. Comment devait-il s’y prendre? Au final il n’avait pas réellement plus de connaissance pratique; il n’était pas réellement plus expérimenté dans le domaine. D’après les films, il devait glisser légèrement une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Bon, se serait sans doute plus difficile puisqu’il était de dos mais il y arriverait. Sa main se glissa doucement contre ses cheveux, révélant lentement l’oreille de la jeune femme, ses doigts tremblants déviant avec une surprenante douceur sous son menton. Peut-être était-elle au courant de cette manouvre. Peut-être savait-elle ce qui arrivait.

    «Su Yeon».

    Uhn, mauvaise tactique. Il ne l’appelait jamais par son prénom. C’était à se demander pourquoi d’ailleurs, c’était joli non? C’était mignon en fait. Zut, il partait encore en vrille, s’échappant, s’évadant, restant complètement loin de ce que la réalité avait à lui offrir, foutu lunatisme. Il déposa ses lèvres contre sa joue en premier, la sentant légèrement frissonner. Soit de peur et de dégout ou encore parce qu’elle en prenait plaisir et qu’elle souhaitait réellement savoir la suite. N’avait-elle pas semblée réceptive lors de sa première tentative? Ses doigts se resserrèrent contre le bout de son menton, la forçant à tourner le visage pour le regarder légèrement, simplement assez pour qu’elle puisse lui offrir ses lèvres. C’était ridicule, il en était lui-même nerveux, ses yeux ne pouvant s’empêcher de fuir son regard, ses lèvres de trembler, son souffle de se couper, son ventre se retourner. Ce n’était pourtant pas son premier baiser à lui, non il n’était pas près d’être un professionnel mais il avait au moins embrassé deux ou trois filles dans sa vie. Il ferma doucement les yeux, son cœur s’amusant à dérégler son rythme cardiaque, jusqu’à ce qu’il cesse complètement, ses lèvres frôlant les siennes pour la première fois, son souffle se glissant contre sa peau de cette façon pour la première fois. Le capitaine qui leurs criaient qu’ils étaient arrivés pour la cinquième fois. NON D’UN CHIEN MAIS C’EST QUOI CE FOUTOIR? Il s’écarta en sursaut de la plus petite, ses yeux bruns laissant voir leurs couleurs, ouvert à leur maximum pour regarder le capitaine. Oh, oui, ils étaient arrivés. Il fusilla l’homme du regard, se retenant lui-même de ne pas lui foutre la droite de sa vie. Non, calme, Sully était avec lui. Il lui offrit un regard suspicieux, tandis qu’il montait ses propres théories de conspiration dans les fins fonds de son crâne. Dieu ne l’aimait pas; c’était un fait. Il se contenta donc de remercier le capitaine – capitaine mon cul oui, il ne faisait que conduire une pauvre barque- et descendit rapidement en premier. Il fallait bien qu’il aide la jeune rousse à sortir du bateau et ce sans se mouiller une seule seconde, ou encore en éprouvant des difficultés à garder son équilibre. Il s’approcha de la barque, posant ses mains à deux endroits précis, un sourire malicieux se dessinant aux coins de ses lèvres. Il la souleva rapidement, ah si, il la transporterait come une vrai princesse de conte de fée. Elle y avait droit non? Après tout ce qu’elle avait dut endurer pour subir une affreuse humiliation.

    « Ohh juliette, ma douce juliette.»

    Il la déposa sur ses pieds alors qu’ils arrivaient à la fin du quai. C’était sans doute le point positif à ce caprice de jeunesse envers son obésité; maintenant avec tous ses muscles, il pouvait transporter n’importe quelle fille sans ressentir de souffrance. Quoi qu’il en soit, son deuxième plans avait raté; mais jamais deux sans trois non? Il devait sans aucun doute y avoir un endroit spécifique sur cette ile qui n’était pas achalandée ! Il attrapa sa main, tournant la tête vers la jeune femme alors qu’il commença à avancer. «Tu veux faire quelque chose en particulier ou j’ai le champs libre?» Uhn. Tout ça sonnait terriblement pervers non? Mm, sans doute oui, du moins pour lui qui voyait des connotations partout ou il ne fallait pas.


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Park Su YeonPark Su Yeon
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MessageSujet: Re: Girl it's real it's my confession   Girl it's real it's my confession EmptyJeu 16 Sep - 15:19

Le voyage en barque n’était pas de toute joie; il faisait froid et celui qui les conduisait jusqu’à l’île était… eh bien, elle avait déjà vu beaucoup plus sympathique, disons. En voyant le comportement du monsieur à l’avant de la barque, d’ailleurs, elle avait froncé les sourcils et n’avait pu s’empêcher d’afficher un air indigné. Après l’elfe impoli au bal, ça, c’était bien le pied… elle avait donc simplement soupiré, croisé les bras et tourné la tête. Au moins, le paysage était joli. Certes, le fait de se retrouver si prêt de l’eau et d’être perdue entre deux îles la rendait légèrement nerveuse; mais de savoir que le plus vieux était là, tout prêt d’elle, apaisait un peu sa nervosité. Un doigt s’était alors glissés sous son menton et elle avait tourné doucement la tête vers le brun, les lèvres légèrement pincées. « Su Yeon. » - en effet, tentative un peu ratée, il ne l’appelait jamais par son prénom. Les seules fois où on l’appelait réellement par son prénom – complet – c’était soit parce qu’on était fâché, soit parce qu’on était un supérieur. Par là, on entend : les professeurs, le directeur, mais même le directeur ne l’appelait pas par son prénom. Généralement, en court, ça donnait « Mademoiselle Park » ou alors « Mademoiselle Su Yeon »; et ça, encore, on le lui adressait généralement lorsqu’on avait quelque chose à lui reprocher. Ce qui n’était pas souvent… enfin presque pas, si ce n’était que des nombreuses fois où elle se perdait à des millénaires de la planète terre, quelque part entre deux étoiles et le soleil. Son soleil, ce soir, pour la peine, se retrouvait à ses côtés; ce qui empêchait son lunatisme de reprendre le dessus, comme il le faisait si souvent. Elle ferma doucement les yeux lorsqu’elle sentit ses lèvres se poser contre sa joue, ses cils frôlant la peau du jeune homme et un doux frisson s’empara d’elle. D’où il provenait, ça, elle ne le savait pas exactement… peut-être était-ce l’anticipation; elle savait ce qu’il tentait de faire. Du moins, depuis la fin du bal – avant qu’on ne les interrompent – c’était assez clair. Tout ce qu’elle savait, c’était que ce n’était pas de dégoût, ni vraiment de peur. Certes, chaque fois qu’il s’approchait un peu trop d’elle, une certaine nervosité semblait naître au creux de son ventre, l’étourdissait et lui donnait presque – presque – des maux de cœur, mais c’était de la bonne nervosité. En fait, le garçon à ses côtés semblait être lui-même si nerveux qu’il était presque impossible qu’il ne la lui transmette pas. Puis elle tourna lentement la tête, en même temps que lui, sentant son souffle contre ses lèvres, puis ses lèvres tout prêt des siennes et son cœur s’accéléra soudainement. Merde, pensa-t-elle, s’excusant mentalement lorsque le dit monsieur leur fit signe qu’il était temps de débarquer. Elle tourna la tête et réalisa enfin qu’ils étaient effectivement arrivé à l’île, qu’il était temps de débarquer de cette barque, de rejoindre les autres. Jee fut le premier à se lever, tandis qu’elle, elle soupirait, grognait silencieusement, croisait les bras et boudait. Vraiment. Quelqu’un là-haut essayait de gâcher sa soirée, ce n’était pas possible. Si elle n’était pas morte étouffée par une étrange plante inconnue sur cette île d’ici les douze coups de minuit, c’est qu’elle était chanceuse, décidemment. Elle se leva finalement, pour enfin être surprise lorsqu’il la souleva de terre. « Ohh Juliette, ma douce Juliette. » Elle ne put s’empêcher de sourire cette fois. Malgré la déception qu’elle venait de subir, à nouveau, il trouvait tout de même le moyen de la faire sourire. Elle glissa donc ses mains autour de son cou, se laissant traîner jusqu’à la fin du quaie.

Finalement, ses pieds touchèrent le sol et elle inclina discrètement la tête, comme pour le remercier. La politesse, elle ne l’oubliait jamais. Même si, parfois, comme jeune femme en devenir, elle n’était pas la plus délicate; elle n’oubliait jamais les règles de politesse. Ça, c’était de l’or. La grossièreté, ça ne menait jamais très loin, dans la vie. Ses doigts se glissèrent entre les siens lorsqu’il attrapa sa main, lui demandant si elle voulait faire quelque chose en particulier ou s’il avait le champ libre. Évidemment, elle, elle ne vit absolument rien de pervers à ses mots; c’était aussi bête que de demander à un enfant s’il avait envie d’aller jouer à un jeu ou s’il avait plutôt envie d’aller se balancer. Elle suivit la cadence, marchant lentement, balançant ses pieds dans le vide tandis qu’elle baissait la tête pour réfléchir. Elle n’avait plus vraiment envie de danser, ni vraiment envie de se retrouver parmi la foule d’élèves qui s’amusaient toujours à boire, danser et faire elle ne savait quelle connerie encore. En fait, en ce moment, elle avait tout simplement envie de retirer ces chaussures inconfortables et se glisser hors de cette robe si serrée, se laisser retomber dans un lit et rester avec le garçon de longues heures à rire ou bien simplement à se réchauffer avec lui, comme elle l’avait souvent fait. Mais elle était motivée et ferme à ce sujet; elle voulait avoir son baiser de princesse. Et dans cette robe, avec cette coiffure, avec ses chaussures de princesse. Comme dans un film romantique, comme celui qu’elle avait regardé cet été; avec la jolie sorcière sang-pure amoureuse d’un moldu. A la différence qu’elle ne voulait pas, bien sûr, voir son père assassiner Kyung Jee d’un coup de baguette. Hm. Non, définitivement pas. Elle haussa alors les épaules et tourna la tête vers le plus grand. « On peut marcher ? J’ai pas trop envie d’aller sur la piste de danse. » Le garçon avait accepté la proposition et, finalement, ils avaient poursuivi le chemin, s’écartant de la foule de gens dans un chemin que ni lui ni elle ne connaissaient. Plus ils avançaient, plus ils s’écartaient, découvraient de nouveaux endroits. Forcément, chaque fois qu’ils découvraient un endroit un peu romantique, il y avait déjà un ou deux couples explorant mutuellement leurs bouches l’un à l’autre. Et elle ? Quand est-ce qu’elle aurait son baiser, elle ? Toutes les fois, elle tournait la tête, mal à l’aise, et tentait de reprendre un sujet de conversation, en vain. En fait, à présent, une certaine tension pouvait certainement se faire ressentir de la part des deux parties. Et même si elle trouvait Kyung Jee absolument adorable, elle n’avait pas du tout envie d’attendre l’épisode de la tente pour pouvoir obtenir son baiser. Un baiser, ça allait avec un premier bal. Si elle n’avait pas son baiser, il serait gâché, forcément. Oui, elle était capricieuse – une petite princesse capricieuse, d’ailleurs, mais pour elle, c’était la logique des choses. Puis, finalement, au bout d’un moment, ils arrivèrent à un endroit totalement inattendu. Une plateforme, totalement blanche, avec un petit toit pour protéger de la pluie. Il n’y avait absolument rien à l’intérieur; d’ailleurs, à part le petit toit, il était totalement à air ouverte. Mais il y avait une tonne de petites lumières accrochées au petit toit et, si elle tendait bien l’oreille, elle pouvait entendre une douce mélodie. Ses lèvres s’étaient légèrement entrouverte et, même si elle avait tenté de cacher sa surprise; rien n’y faisait. Automatiquement, elle avait lancé un grand sourire au plus vieux et l’avait attiré jusqu’à la plateforme, grimpant une marche, deux marches, trois marches, se demandant elle-même comment le plus vieux avait fait pour suivre la cadence sans tomber une seule fois derrière sa vitesse. Certes, il manquait une chose : sa grande robe qu’elle aurait pu tenir comme une princesse pour grimper les marches, mais tant pis.

Elle se plaça au centre et tourna sur elle-même, levant la tête vers le ciel partiellement découvert, fermant les yeux quelques secondes pour finalement s’arrêter, un peu étourdie, se laissant retomber dans les bras du plus vieux. Ici, il n’y avait personne, ou, du moins, elle croyait qu’il n’y avait personne. Peut-être aurait-elle dut s’inquiéter de se retrouver seule avec un garçon beaucoup plus vieux qu’elle; mais c’était Jee. Et sa confiance envers le garçon était telle que rien ne semblait être dangereux en sa présence, rien ne semblait réellement la déranger. Elle redressa la tête, grimaçant, gonflant les joues une demi-seconde, bredouillant quelques excuses pour être retombée contre lui. Mais il l’avait rattrapée à merveille, et, même, il semblait commencer à prévoir les coups de la plus jeune, aussi étonnant cela pouvait-il être. Parce qu’il fallait l’avouer; ils étaient tous deux maladroits et, ensembles, souvent, ils étaient un peu dangereux à fréquenter. Quoi qu’en y pensant… c’était une des premières fois qu’elle prenait réellement le temps à l’extérieur du château de le passer avec lui. Elle avait donc redressé la tête, tout ça après avoir rigolé de longues secondes avant de s’arrêter soudainement, son regard croisant finalement celui du plus vieux. Et maintenant, n’était-ce pas le bon moment ? Elle avait donc pincé les lèvres, se redressant, bêtement, pour lui faire face dans toute sa grâce. Puis ses mains s’étaient délicatement posées contre son torse et le jeune homme, enfin, sembla comprendre ce qu’elle aussi avait compris. Cette fois, c’était le bon moment; et cette fois, personne ne les empêcherait. Il le pensait lui aussi, non ? Oui, sûrement, parce qu’au bout d’un moment, elle le vit fermer les yeux et automatiquement, elle eut le même réflexe, son visage se rapprochant du siens, ses mains se glissant doucement contre sa nuque, son souffle se faisant irrégulier, ses lèvres touchant presque les siennes et… « HAHAA, SULLY, T’AS VU LA ROBE DE SHINAH ? Tous les gars de l’école vont me hai - » Elle tourna alors brusquement la tête vers le garçon qui venait de les interrompre. « MERDE. » fit-elle, le coupant, fronçant les sourcils. Elle leva finalement un doigt vers le dragon qui se tenait devant eux, les sourcils fronçés, l’air sévère. « S’il. Te. Plaît. » Puis, elle tourna la tête vers le brun, agrippant son collet pour l’attirer brusquement à elle, ses lèvres venant – enfin – capturer les siennes. Dans tout ça, elle n’oublia tout de même pas le détail le plus important; sa jambe se leva, comme dans les films romantiques. Pop.

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Shin Kyung JeeShin Kyung Jee

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MessageSujet: Re: Girl it's real it's my confession   Girl it's real it's my confession EmptyVen 17 Sep - 19:52

    Laissez le contrôle une fois à une seule femme et tout est fini. Qui était le crétin qui avait dit ça déjà? Ah oui, lui, la semaine passée alors qu’il parlait de femme au volant avec quelque copain. Femme au pouvoir tout court en réalité. Heureusement, la jeune femme qui était pendu à ses lèvres au moment présent n’en savait rien de cette conversation. Attendez, venait-elle vraiment de l’embrasser? Ses paupières s’ouvrirent soudainement alors qu’il réalisait qu’il avait machinalement fait un doigt d’honneur au pauvre gukki qui ne savait absolument pas qu’ils les interrompaient dans un moment fatidique, tout en répondant passionnément au baiser soudain que la jeune femme lui avait offert. Sully au pouvoir, ça sonnait plutôt bien. Ou ça faisait assez peur, tout dépendais du point de vue et de la situation du moment, ouais, clair, grave. C’était un peu comme si quelque chose en lui se réveillait, un peu comme si elle venait tout juste de mettre le feu à un explosif – sans sous entendu débile -. Son soudain retour sur terre fut de très courte durée, juste assez pour qu'il ait le temps de baisser son bras pour arrêter d'insulter le yongwang qui était présent. Une main se plaqua contre sa nuque, intensifiant davantage le baiser dont il avait eu droit, l'autre venant directement se poser contre l'une de ses hanches, la soulevant aisément pour qu'elle enroule ses jambes contre ses hanches. Dieu, c'était si bon de sentir ses lèvres toucher les siennes, se presser contre les siennes. Même leurs souffles s'entremêlant devenaient un pur plaisir, grognant finalement contre sa peau de lait alors qu'il avançait jusqu'à ce que son dos percute l'une des colonnes qui tenait le pauvre petit toit. Sans doute trop brutale pour un premier baiser, mais il ne pouvait certainement pas faire autre chose qu'extérioriser cette envie grandissante, lui dévorant les trippes, par une pulsion beaucoup trop forte. Il ne manquait certainement que la pluie fasse des siennes pour que ce baiser se transforme encore une fois en une scène cinématographique pseudo romantique. Que diable, il s'en foutait, tant que cette paire de lèvres restaient collé au sienne, bougeaient contre les siennes, s'amusaient contre les siennes. Sa main glissa doucement contre sa nuque, venant s'infiltrer dans ses doux cheveux bouclés. C'était sans doute un rêve ... tellement s'en était bon. Ou encore pouvait-il supposé qu'il avait but plus qu'il ne le croyait et était présentement comateux contre leurs lits dans la tente pendant qu'elle le boudait d'avoir abusé. Non, trop bon pour être un rêve, non, trop puissant pour ne pas être vrai. Ses doigts se resserrèrent contre sa cuisse, fronçant les sourcils alors que ses poumons lui criaient leurs dernières plaintes pour assurer sa survie. Dieu, par pitié, s'il quittait ses lèvres, là maintenant, il n'en survivrait pas, la réalité platonique serait un choc beaucoup trop dur à supporter. Non, si c'était un rêve alors il pouvait bien se laisser crever pendu contre ces lèvres là. Elles goutaient sucrées, elles goutaient les pêches ... non, les pêches goutaient ses lèvres. C'était insensé, c'était purement une douce folie. Il s'écarta finalement à bout de souffle, posant son front contre le sien. Dieu, dieu.

    «Dieu.».


    Oui, ça c'était surprenant. Sincèrement, le plus vieux se surprenait littéralement. C’était à peine s'il comprenait ce qu'il venait de faire. Le sang chaud, n'avais-je pas dis que ce garnement avait le sang chaud? Ascendance italienne? Peut-être ... non, c'était du pure Shin ça. De ce qu'il se souvenait de son père, il avait toujours fait preuve d'une énorme passion lorsqu'il avait embrassé sa mère. Oui, du pure Shin. Seulement là, maintenant, ne semblait-il pas sur le point de lui faire l'amour contre la colonne du gazebo? Mmm, oui en effet, c'était un point de vue objectif. C'était tout de même mentir s'il disait qu'il n'en n'aurait pas eu envie. Seulement, une chose à la fois non? C'était bien d'attendre et ce n'était surement pas ce que la jeune femme désirait maintenant. Il la laissa glisser contre lui, jusqu'à ce que ses petits pieds touchent enfin le sol. Oui, il fallait lui pardonner. Il avait tellement subit de frustration suite aux autres tentatives que ce geste avait été une totale délivrance. Un plaisir simple à l'état pur. Non, mais dieu. Il n'avait pas souvenir d'avoir déjà autant perdu le contrôle. Peut-être aussi toute les fois ou elle c'était pointé dans la nuit en petite robe légère n'avaient pas aidé à sa cause. Dieu. Dieu qu'il répétait mentalement ce mot, c'était fou ! Un rire s'échappa du fond de sa gorge alors qu'il se retournait pour voir si gukki avait resté à les regarder. Non, il avait semblé avoir compris le message. Il l'imaginait parfaitement, les mains posé contre sa bouche, les yeux ronds à reculer doucement pour s'éclipser sans oser manquer le premier baiser de son amie. Mm, oui, peut-être avait-il trop laissé ses émotions exploser. Il reposa son regard contre la jeune femme, effleurant son pouce contre l'une de ses joues teintées d'un rouge vivace. Que personne ne vienne oser lui dire qu'il avait eu l'air un temps soit peu pathétique, parce qu'il lui trancherait la gorge sur place. Un homme, un vrai, plein de testostérone, un male alpha en toute puissance. Assez pour qu’il ait envie de bomber le torse et dire ; ouais, c'était moi ça. En même temps, il ressentait une immense fatigue sur le coup, sentant un poids énorme s'accabler contre ses épaules, ironiquement, il se sentait joyeux et léger. Complexe, contradictoire. Seulement maintenant, il n'avait qu'une seule envie, se coucher dans un lit avec elle et la dorloter autant qu'elle le désirait. Il déposa un baiser contre son front avant de joindre leurs mains ensemble, tirant contre celle ci pour qu'il le suive. Les tentes, oui, c'était sans doute le bon choix. Ils ne mirent pas trop longtemps avant de les trouver heureusement, entrant dans ce qui serait leur petite idylle pour la fin de semaine. Un petit paradis parfait avant le début des cours. Sa petite amie, pouvait-il la considérer officiellement ainsi ou devait-il faire une demande? C'était ridicule en fait de le demander après ce qui venait de se passer. Qui plus est, la jeune femme n'était définitivement pas le genre qui embrassait les hommes ainsi juste pour les embrasser. Justification stupide ... c'était son premier baiser. Il alla directement au lit, se débarrassant de sa veste et de ses chaussures en chemin, se laissant retomber mollement contre le matelas.

    « J'ai mal partout, j'ai l'impression d'avoir fait les jeux olympique aujourd'hui.»


    Oh, petite erreur, il oubliait. Savait-elle seulement qu'était-ce les jeux olympique? Il rectifia par « coupe du monde de quidditch. », se grattant la tête avec ennuie. Il oubliait parfois que ses connaissances n'étaient jamais générales lorsqu'il était à l'école. Il aurait dut en prendre l'habitude pourtant, lui qui passait presque toutes ses étés ici, ne voulant plus revenir à la maison pour les vacances depuis que son ami était partit. Ça attristait sa mère sans doute, mais la plaie qu'il avait laissé ne s'était jamais refermer, elle ne se refermerait sans doute jamais. Ce qui était le plus triste en fait. Jee était un homme fidèle, à ses amours, à sa famille et aussi à ses amis. Jusqu'à la mort disait-il en rigolant la plus part du temps. Sauf qu'il ne mentait pas. C'était sans doute son plus grand défaut et sa plus grande qualité. C'était honorable, seulement ça frisait la folie totale. Il tendit doucement la main vers elle, attendant patiemment qu'elle vienne le retrouver, ses bras encerclant sa taille pour la serrer doucement contre son corps. Elle était si petite, que parfois il se semblait trop fort pour ne pas la briser. Elle était pourtant robuste, ses longues années de maladresse ayant porté fruit à la rendre assez forte, pas assez pour ce monde cruel mais au moins assez pour qu'elle puisse survivre en bonne compagnie. Il caressa doucement la peau de ses bras, frissonnant lui même à ce touché. Sa peau était douce, comme celle d'un enfant. Une femme enfant, voilà un parfait portrait de la femme qui se trouvait entre ses bras. Il n'arrivait même pas à se débarrasser de se stupide sourire qui écartait ses lèvres, dévoilant ses dents blanches. Non, maintenant qu'il y pensait, il n'était décidément pas trop saoul pour imaginer tout ça. Ses lèvres vinrent se poser contre son cou, embrassant sa peau alors qu'il nichait le bout de son nez au creux de son épaule. Belle, belle Sully.

    « Je suis heureux tu sais? très heureux.»

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Park Su YeonPark Su Yeon
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MessageSujet: Re: Girl it's real it's my confession   Girl it's real it's my confession EmptySam 18 Sep - 6:21

La jeune femme n’était pas totalement certaine de comprendre ce qui venait de se passer; mais, dans tous les cas, elle s’était laissée aller, avait laissé ses mains se balader sous sa nuque, dans sa mince chevelure, le pressant contre elle alors qu’il la plaquait contre la colonne. Certes, maintenant, son baiser ne ressemblait plus réellement à un baiser de princesse mais au moins… il en valait la peine. Beaucoup moins ennuyant que ceux qu’on voyait dans les films et ça au moins elle pouvait le lui accorder, beaucoup plus intense, beaucoup plus présent, et elle n’avait pas du tout l’impression que c’était un premier baiser raté; comme tant de filles semblaient avoir subi. Devait-elle en être fière ou seulement se contenter de se trouver chanceuse ? Au travers du baiser, elle avait esquissé un sourire avant que le plus vieux ne relâche ses lèvres, la laissant finalement remettre pieds sur terre – dans les deux sens du terme. Elle avait alors mordillé l’intérieur de sa joue, pincé les lèvres et baissé la tête, un peu par gêne et un peu par amusement. Puis elle avait tourné la tête seulement pour voir que Min Guk n’était plus présent; elle lui devrait peut-être quelques explications la prochaine fois qu’elle le voyait, mais pour le moment, elle lui était reconnaissante. Après tout, si ça n’avait pas été lui, peut-être que ça aurait été autre chose et que ce baiser n’aurait jamais vraiment eut lieu. Mais comme c’était lui, elle n’avait pas hésité une seconde. Puis, après tout, c’était son ami qui l’avait aidée à se coiffer et à enfiler sa robe juste avant le bal. Même s’il était, la plupart du temps, imbu de lui-même et n’arrêtait pas de parler, au moins il était de bon conseil. Pour le reste; elle préférait ne pas se poser de questions maintenant. Après tout, sa mère ne lui avait-elle pas dit que ses plus belles années étaient celles où elle était encore jeune et insouciante ? Elle lui avait proposé de bien choisir le premier garçon afin de ne pas avoir le cœur trop brisé – parce que sa mère pensait fermement qu’un premier amour n’était jamais le dernier – mais, qu’au fond, maintenant, quand elle y repensait, ses jeunes années étaient ses préférés. Elle l’avait même surprise à rêvasser sur son cas à elle. Ah, oui, elle devrait écrire une lettre à sa maman pour lui raconter son premier bal. Son père était peut-être très sévère, mais sa mère, elle, au moins, elle était conciliante. Si son père ne ressentirait probablement que l’envie de descendre le jeune homme, sa mère, elle, serait excitée à l’idée de voir de quoi avait l’air ce charmant jeune homme. Ah oui, tiens, tant qu’elle y pensait, elle devrait prendre une photo du jeune homme en question. Elle avait redressé la tête vers le plus vieux en y pensant, un mince sourire au coin des lèvres.

Les tentes étaient grandes, spacieuses, et elle pouvait même dire que l’ambiance à l’intérieur était agréable. Là, elle pouvait enfin, finalement, se réchauffer. Et enlever ces maudites chaussures qui lui torturaient les pieds depuis un moment. Le garçon passa devant elle pour se diriger vers le lit et la plus jeune s’occupa de fermer la tente derrière leurs passages, retirant lentement ses chaussures, ayant toujours un peu de mal à redescendre de son petit nuage. « J'ai mal partout, j'ai l'impression d'avoir fait les jeux olympique aujourd'hui. » Elle avait redressé la tête et haussé un sourcil, ne comprenant absolument pas ce qu’il entendait dire par ‘jeux olympiques’. Mais le garçon se rattrapa, corrigeant avec la coupe du monde de Quidditch; et là, elle comprit que les jeux olympiades – olymtypiques – enfin peu importe, quelque chose comme ça, c’était probablement un sport ou alors des sports moldus. Cette simple idée faisait briller une petite lueur au fond de son regard. Qui n’était pas au courant de sa passion pour tout ce qui touchait le monde moldu ? Il n’y avait certainement pas plus sang-pure qu’elle; aucune descendance moldu, aucune. Aucune trace de sang moldu et même sa famille était plutôt inculte à propos de ces individus. Sa mère n’avait rien contre eux mais son père ne les affectionnait pas particulièrement. Enfin, peu importe, au fond. C’était son avis à elle qui comptait. Lorsqu’elle n’était pas d’accord avec l’avis de ses parents, généralement, elle se refermait tout simplement et s’encourageait en se disant que d’ici trois ans, leurs avis ne compteraient plus. Certes, en temps réel, ça ne fonctionnait pas comme ça… mais bon, ça, il ne fallait pas le lui dire. La jeune femme s’approcha lentement de la table centrale, visitant un peu plutôt que de se jeter tout de suite dans le lit comme l’avait fait son cavalier. Elle s’approcha de la table centrale et glissa ses doigts au travers de sa propre chevelure pour retirer la grosse fleur posée sur sa tête, la posant délicatement sur la table. La fleur qu’elle avait choisi était particulière, d’ailleurs. En temps normal, elle ne l’aurait pas laissée sur la table pour ne pas qu’elle meurt si rapidement, mais celle-là, selon les dires de sa mère, ne mourrait jamais; pas même lorsqu’on l’arrachait de terre. Cette pensée la fit sourire alors qu’elle tournait la tête vers le plus vieux déjà dans le lit. « Je suis heureux tu sais ? Très heureux. » Elle glissa à nouveau ses mains au travers de sa chevelure pour la transférer toute sur une autre épaule, démêlant distraitement les quelques mèches qui avaient eu le temps de s’emmêler au cours de la soirée. Sa seule peur en ce moment était que le jeune homme soit justement trop épuisé pour poursuivre la soirée, parce qu’elle, au fond, était beaucoup trop excitée au fond d’elle pour s’endormir maintenant, même si elle semblait drôlement sereine à l’instant. Elle haussa finalement les épaules et se dirigea en douceur vers le lit, appuyant finalement ses mains contre le matelas pour se pencher vers le jeune homme. Elle attrapa la main qu’il lui tendait pour grimper sur le lit en question à son tour, son sourire revenant dessiner ses lèvres rapidement alors qu’il l’attirait à lui. Sa main s’insinua entre leurs deux corps pour se poser contre son torse alors qu’il laissait aller ses lèvres au creux de son épaule et elle ne put empêcher un faible rire de s’échapper d’entre ses lèvres. Elle les pinça pour se retenir et baissa finalement la tête pour l’observer. « J’ai une solution à ça. C’est un talent que ma mère m’a inculqué. Attends, je te montre. » Elle se redressa et lui fit signe de se coucher sur le dos alors qu’elle tendait la main pour ouvrir le tiroir. Apparemment, si ces nains avaient été très impolis plus tôt, au moins, ils avaient pris le temps de venir porter leurs choses dans les tentes. Elle tira une crème du tiroir et la posa contre la table de chevet avant de venir s’asseoir sur le jeune homme. « Bon, elle est à la vanille, mais… je garde toujours cette crème avec moi lors de soirée. Aigo, si tu savais le nombre de soirées dans lesquelles ma mère me traîne. »

Elle posa ses mains contre son torse et lui adressa un mince sourire avant de poser un doigt sur le premier bouton de sa chemise. Il fallait dire, les deux ou trois premiers étaient déjà déboutonnés, mais ça, ça ne l’étonnait même pas. Ses mains descendirent lentement le long de son torse, déboutonnant un à un les boutons alors qu’elle poursuivait. « C’est pour les muscles endoloris. Enfin, normalement, c’est pour faier des massages, mais je ne l’ai jamais réellement utilisé sur quelqu’un d’autre. » Elle haussa les épaules avant de rajouter à voix basse; « Sauf papa… » Puis elle passa ses mains à l’intérieur de la chemise pour la faire glisser, révélant le corps du plus vieux, ses mains remontant vers ses épaules pour la faire cette fois glisser de ses épaules. Elle dut lui demander de se redresser une seconde afin de pouvoir la retirer totalement, mais une fois que ça, ce fut fait, elle lui fit signe de se retourner sur le ventre, se posant à ses côtés pour qu’il puisse le faire. « Tu veux un massage ? » Demanda-t-elle finalement, tout simplement.

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Shin Kyung JeeShin Kyung Jee

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MessageSujet: Re: Girl it's real it's my confession   Girl it's real it's my confession EmptyLun 20 Sep - 12:47

    Un talent que sa mère lui avait inculquer. Pourquoi tout ça sonnait louche? Il inclina la tête, l’observant silencieusement assise contre lui, l’écoutant enchainer vers ce qui – oh. Ciel. Allait-elle réellement lui faire un massage ? Mm, c’était sully après tout, fallait pas chercher trop loin. Lorsque la jeune femme avait un plan en tête, il ne fallait surtout pas oser la contre dire; sauf si l’on avait la chance de s’appeler Yie, ce qui en cas contraire vous donnerait directement accès à voir le démon en personne. Capricieuse, oui, malgré toutes ses magnifiques qualités, la jeune femme n’en restait pas moins une très grande capricieuse. Ah, elle n’était pas une Yunikon pour rien, il fallait bien lui donner ça. Il inspira doucement, avec précaution, ouvrant les yeux ronds alors que la plus jeune s’amusait à déboutonner sa chemise, avec soins. Un rire nerveux s’échappa de ses lèvres. Pourquoi détachait-elle sa chemise, à lui, qui à peine dix minutes plutôt avait dut résister à l’envie de lui faire l’amour en pleine nature devant un de ses ami? C’était probablement ce qui était le plus ironique dans l’histoire; la jeune femme le touchait si aisément parce qu’elle se sentait en sécurité avec lui. Alors que de son coté, Jee, se considérait comme un vrai danger pour la jeune rousse. Il était un homme après tout. Certes il était prêt à la protéger de n’importe quel danger. Sauf que là maintenant, c’était lui la bête sauvage dont il devait la protéger. Elle était douce, il était fort, elle était pure, il était faible. Probablement plus dangereux que les autres hommes puisque justement il n’avait jamais couché avec une femme. Dieu savait parfaitement qu’il ne s’excitait à rien qui plus est. Un simple frisson et la machine était partie. Oui bon, pas à ce point mais pas totalement loin de la réalité non plus. Combien de fois l’avait t’elle pousser à bout et ce sans s’en rendre compte? Il fallait être faible pour répondre – avec vivacité – à des gestes qui n’étaient même pas intentionnellement provocateur. Ou peut-être était-ce lui qui l’imaginait beaucoup trop ‘sotte’ pour qu’elle puisse le charmer si ouvertement –encore charmer était un grand mot, là c’était plus une question d’aller au stade suivant que de simple charme -. Parce que soyons réaliste une seconde; personne ne propose un massage à un homme lorsqu’ils sont seuls dans une tente, un soir où manifestement tous étaient portés sur le sexe. Il soupira bêtement, se tournant sur le ventre comme elle lui avait sagement demandée de le faire, l’un de ses yeux se fermant fortement suite à son combat mental. Au final il ne la croyait par réellement stupide face au geste et paroles qu’elle disait; seulement elle n’imaginait peut-être pas l’impacte que ce qu’elle faisait avait sur lui. Il fallait très certainement mesurer ses gestes avec lui. Le puceau.


    «Tu compte m’en faire beaucoup des massages comme ça? J’demande juste mais; je ne t’en voudrais pas, promis. ».

    Il lui offrit un grand sourire taquin. Oui, elle n’était pas si innocente dans ses propos. C’était bien elle qui avait prit les devant pour obtenir son baiser et ce même en était limite impolie avec l’un de ses ami. Jusqu’où cette jeune femme pouvait aller pour obtenir ce qu’elle voulait. Au final, il ne la connaissait pas assez pour comprendre l’où ses limites se terminaient. Ce qui était le plus effrayant en fait. Peut-être croyait-elle qu’ils devaient coucher ensemble rapidement si non il la jetterait automatiquement, qu’il faisait partit de ce genre d’homme. Ciel, il ne voulait pas la forcer à faire quoi que ce soit. Pas qu’il n’avait pas envies de – Oui c’est bon ta gueule le nain, on avait tous compris. Il se redressa quand même, rapidement, tournant la tête pour l’observer de avec ce qu’il essayait d’appeler des grands yeux. Elle était assise sur ses fesses, papillonnant ses paupières, surprise, frottant ses mains crémées ensemble. Il devait l’arrêter, avant que quelque chose de regrettable n’arrive. Il entendait déjà les commérages du lendemain. Nerveux? Qui pouvait croire que cet enfant était nerveux? Était-ce son œil tressautant qui en donnait l’indice ou encore ses ongles complètement rongés jusqu’à la peau? «Si tu ne veux pas faire quelque chose de précis, tu n’es pas obligé hein. Et puis tu es sure que ce massage est réellement- HUH ». Son corps se percuta contre le matelas, le souffle coupé alors qu’il comprenait à peine ce qui venait d’arriver, outre le fait qu’il avait maintenant de la crème dans les cheveux. Il osa simplement tourner la tête sans trop bouger pour observer la jeune femme fronçant les sourcils un instant avant, de se remettre sagement de la crème dans les mains, son air angélique flottant à nouveau sur la peau d’ivoire de son visage. Elle l’avait poussé, elle l’avait carrément poussé pour qu’il retourne à sa place initiale. Elle l’avait coupé dans ses paroles. C’était une violente cette rousse là. Fallait bien s’en douter, il avait crut un instant qu’elle allait tuer ce pauvre elfe de maison pour cause impériale; l’impolitesse. Ok, ok, il ne bougerait plus. Les mains bien étendues contre le matelas, le plus vieux se concentraient réellement à une tache qu’il pourrait qualifié d’ardue. Rester immobile. Oh, zut, et maintenant le bout du nez qui s’y mettait, lui chatouillait. Gn, que diable, pourquoi était-elle aussi autoritaire aussi? Il tenta vainement de bouger le bout du nez pour assouvir cette soudaine sensation de chatouillement au niveau du nez. Il tourna légèrement la tête pour l’observer, soupirant alors qu’il s’imaginait sans doute qu’elle lui donnait l’autorisation de se gratter, replaçant ses mains sagement contre le lit suite à ce soulagement. Il ferma doucement les yeux, inspirant lentement alors que la jeune femme débutait un divin massage de ses mains. Oh, oui, elle était réellement douée. Fallait avouer que c’était le meilleur massage qu’il n’avait jamais eu. Ou encore, soyons plus clair, c’était le premier massage qu’il avait. Doucement, il sentait ses muscles endoloris se détendre sous les petites pressions que ses doigts produisaient contre sa peau. Une sensation de paix, de calme s’insinuait en lui, chose qui n’arrivait que rarement, l’énergie débordante qui se contenait dans son corps était assez surprenante. Maintenant qu’il y pensait, se massage n’avait pas autant de sous entendu sexuel qu’il ne l’avait craint, un massage du dos et des épaules ce n’était pas la catastrophe non plus. Oh, oui, c’était vraiment bien. Encore fallait-il qu’il oublie que la jeune femme au dessus de lui, avait un corps des plus sensuels et qu’elle lui avait offert le baiser de sa vie mais ça, ce n’était qu’un détail. Ou pas. Suffisait juste qu’il se calme, qu’elle ne se limite qu’à son dos et qu’elle ne parle pas. Chose qu’elle ferait sans doute et il priait le ciel que ses paroles soient sages et posés. C’était lui ou il faisait chaud ?


    « Sully? T’as chaud toi? J’ai l’impression que quelqu’un a allumé un feu de camps juste à – oh. Oh. Huhn … »



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