Kwon Na Yung
THE BUBBLE MODO;
messages : 262 je suis ici depuis le : 17/06/2010 âge : 36 animal de compagnie : un hibou, Vil, premier du nom.
| Sujet: Captain Kwon Na Yung, pour vous servir (: Sam 19 Juin - 11:21 | |
| FEAT; Hwang Chansung [2pm]. | FICHE D'IDENTITÉ ■ Na Yung Kwon. ■ 22 ans. ■ Coréenne. ■ Sang-pur et Fourchelang. ■ Un hibou, Vil premier du nom. ■ Travailler au département des mystères. ■ Bois de rose, 29.5 cm et contient un ventricule de coeur de dragon |
tell me your wish;
répondez à ces cinq questions comme si c'était votre personnage qui y répondait. ;)
1. Qu’elles sont magnifique ces sirènes ! Seulement cette fois, malgré leurs beauté magistrale et leurs chants envoutants, quelque chose vous empêche de les contempler comme chaque fois qu’elles passent près de vous. Peut-être est-ce simplement le fait que votre ami(e) de cœur se trouve malencontreusement pris(e) au piège de ces affreuses chimères ! Vous savez parfaitement que si vous les laissez partir avec elle/lui … votre copain(e) ne sera pas simplement invité au diner de ce soir ! Comment allez-vous remédier à cette situation ?
■ Je ne suis pas une personne qui laisse autrui en difficulté. De plus, si c’est un individu qui m'est cher, je ferais mon maximum pour trouver une solution. Malgré que je sois une personne célèbre au sein de l'établissement, j'agirai seul. Quitte à perdre un temps précieux. J’utiliserai toutes les formules que je connais, jusqu’à trouver la bonne. Bien entendu, on ne sait jamais ce qui pourrait se passer entre temps. Donc je ferais diversion pour qu’ensuite mon ami soit enfin libéré. Nous ferons alors équipe à deux contre ces infâmes créatures.
2. Deux de vos amis s'approchent de vous avec entrain, vous vous demandez ce qui peut bien les rendre si joyeux puisque demain vous avez tous trois examen de botanique. Ils vous annoncent donc avec enthousiasme que des élèves organisent une super fête ce soir à l'exterieur du chateau pour fêter la victoire de votre équipe de quidditch. Vous hésitez car, bien entendu, vous savez parfaitement que l'examen de demain compte pour 40% de la note finale !
Choix A : Vous avez décidé d'y aller simplement parce que vous êtes jeune et qu'il n'y a rien de mieux qu'une bonne soirée entre copains pour vous détendre avant cette épreuve de demain. Seulement, après avoir comprit que tous fêteraient jusqu'aux premières lueurs du jour, vous décidez que vous devez tout de même rentrer. Le problème étant que le couvre-feu a déjà été passé et Jimmy, le gardien du château, vous refuse l'entrée ! Par la barbe de Merlin ! Comment allez-vous pouvoir le convaincre qu'il doit absolument vous laisser entrer !
■ Nous n’avons qu’une vie ! Alors bien sûr que j’en profiterai. Ce n’est pas un problème, un être avec une intelligence telle que la mienne arrive parfaitement à retenir les choses. Il me suffit de lire plusieurs fois mes notes avant l’examen, même si j’arrive une demi-heure avant. Et puis, les révisions, vous connaissez ? En ce qui concerne le gardien du château, rien de plus simple. D’abord, je lui raconterais une petite histoire, bien alléchante et du moins saugrenue, pour le déstabiliser. J’utiliserai ensuite mon hibou, mon plus fidèle allié, comme pour les sirènes, en moyen de diversion, en appât. Obligeant celui-ci à poursuivre l’animal. Puis je prendrais « jambes à mon cou » et entrerais sans difficulté à l’intérieur de l’établissement. Jusqu’à me rendre dans ma chambre, en faisant attention aux alentours pour ne pas me faire repérer. Cependant je ne suis pas certaine de la finalité de ce plan e.e
3. Cette nuit, vous n'arriviez pas à dormir. Le couvre-feu est passé depuis déjà deux heures mais qu'importe... vous pourrez toujours dormir en cours le lendemain matin, cette vieille chippie ne vous apprend jamais rien de très bon de toute façon ! C'est pourquoi vous avez décidé d'aller passer le temps à vous aventurer dans les couloirs du château en attendant de trouver le sommeil. Cela fait bien une demi-heure que vous vous baladez librement lorsque... cette horrible vieille mule pointe le bout de son nez. Oh oui, vous l'entendez, vous pouvez parfaitement reconnaître le bruit de ses talons qui claquent contre le sol et résonnent affreusement sur tous les murs du château. Le professeur tournera dans votre couloir d'un instant à l'autre et il n'y a pas de fuite possible, vous rencontrez un mur derrière vous ! Comment allez-vous faire face à cette situation ?
■ Déjà, je tiens à dire que le règlement du couvre-feu doit être respecté. Je cite « Il est interdit de mettre les pieds à l'extérieur de l'académie après le couvre-feu. Les portes de l'école ferment toutes à vingt-trois heures et une minute ». Mais, admettons. Etant fourchelang, je demanderais de l’aide à l’un de mes « amis ». Il me semble que cette vieille mule n’éprouve pas de la sympathie envers ce genre de bêtes. Ce qui la fera certainement perdre son calme. Elle partira sans doute dans la direction opposée à la mienne. Vu que c’est un cul-de-sac, et qu’elle connaît comme sa poche l’intérieur du château. J’en profiterai donc pour faire demi-tour, au cas où un autre professeur pointe le bout de son nez.
4. Un adulte que vous ne connaissez pas vous assure être un professeur d'AKIWA. Vous êtes nouveau, après tout, c'est très plausible que vous ne connaissiez pas encore tous les professeurs de l'académie... alors vous décidez de l'écouter ! Cependant, il vous demande quelque chose qui vous laisse suspicieux. Vous vous rappelez qu'il y a deux semaines, le directeur vous a confié un document classé confidentiel que vous ne deviez remettre à personne. La consigne était de ne le révéler à personne, pas même un supérieur ! Mais l'offre de ce professeur est alléchante, quand même... en échange d'un petit coup d'oeil, il vous promet de vous faire passer le prochain examen et vous libère de toutes retenues jusqu'à la fin de l'année. A l'inverse, il promet de vous placer en retenue pour les trois prochain mois... que faire ?
■ Ce genre de personne est bien méprisable. Je n’ai jamais eu de retenue de ma vie. Je ne veux pas être pris sur le fait et être renvoyer. Le Directeur lui-même me fait confiance, je ne souhaite pas le décevoir. Alors je prendrais mes responsabilités. Pour trois mois, ce n’est pas affolant. Puis, je demanderais des informations sur ce soit disant professeur aux supérieurs. S’il s’avère que cet individu en est bien un, j’irai en parler au Directeur en personne. Après, ce sera à lui de juger des conséquences, même si je pense que l’imposteur ne restera pas longtemps parmi nous.
5. C'est la dernière ! Dites-moi, jeune sorcier ; quel est votre avis face aux sorciers issus de parents moldus ?
■ De nature curieux, les moldus me fascinent beaucoup. J’aime étudier leur comportement, comprendre leur mode de vie et le comparer à l’univers de la magie. Ils sont intéressants. Et n’en sont pas moins intelligents. Ils ne m’indifférent en aucunement, je serais heureux de pouvoir converser avec l’un d’eux, et ainsi, accroître mes connaissances. Je serais donc aimable et avenant envers mes camarades issus de parents moldus. Chacun à sa place parmi-nous. ■ Snow ■ Ce n'est pas difficile, un être comme moi est doué en ce qui concerne la magie, j'ai simplement utilisé ma baguette magique et exécuté le sort [...] u.u ■ 7/7 ■ Aimez-moi et ma magnificence vous le rendra. ■ EXEMPLE RPG ; - Spoiler:
Parfois Toru effleure juste la surface de sa mémoire, un souffle qui ride à peine l’eau, parfois il recueille les minuscules vagues concentriques qui partent du centre alors même qu'elles n'ont pas atteint le bord. D'autres fois il plonge sa main jusqu’au coude, paume ouverte, doigts étirés pour atteindre le fond. On pourrait penser que l’eau a tellement été brassée qu’elle n’a plus rien à rendre, qu’elle est débarrassée de son oxygène, eau pétillante devenue eau lourde... il n'en n'est rien. Il lui semble qu'il y a si longtemps que qu'il l'espère. Que Toru devine ses contours, une fraction de seconde avant de fermer les yeux. Que sur l'écran noir de ses nuits blanches, il l'anime. Peut-être a-t-il toujours été là, dans chacun de ses rêves fous. Peut-être même que ses orgasmes chantaient son prénom... Et aujourd'hui, Toru a l'impression que cette image est un peu moins floue... Que cet homme est présent, qu'il est là, si près de lui... Si celui-ci le voulait vraiment, en tendant la main, il pourrait le toucher du bout des doigts... Il a même l'impression, à travers la brume du rêve, qu'il lui sourie... Et il aurait certainement envie de lui dire que sa présence, quoi qu'encore un peu lointaine et vague, fait vibrer tout son être... Toru avait oublié néanmoins qu'il pouvait vibrer comme ça. Cet étrange sentiment de renaitre. Il avait oublié, surtout, comme c'est bon, d'espérer...Espérer de cette profonde envie du son de sa voix qui murmure le prénom de Toru. Qu'il désire sentir contre lui le moelleux de son torse ... Allant jusqu'à en perdre l'esprit et se aller à l'espoir fou qu'il désirerait se perdre dans le creu de son cou , d'en respirer le parfum... De recueillir, dans les quelques grammes de cette chaire délicate, l'essence même de son désir pour lui... Fol espoir qu'un jour, il aurait l'occasion de sentir ses doigts se perdre dans la soie de ses cheveux. Que cette bouche qu'il possède goûtera le velours de sa peau... Lentement... Et que Toru lui offrirait tout de lui, chaque parcelle, centimètre de son corps, pour que celui-ci s'enivre de miel, de frisson et de douceur... Pour qu'il boive, à même le corps de notre cher Toru, cette sensualité qui les anime subitement tous les deux et dont ils ne parviennent jamais à étancher la soif...Mais il manque à cette image de lui à laquelle il tente de donner vie, la chaleur de cette peau qu'il convoite. Il manque le goût de ses baisers, le son de ses soupirs, le grain de la peau de ses frissons... Il manque le goût de la sueur et la tendre douceur de ses fesses... L'odeur mâle que le jeune homme a envie de recueillir au creux de ses cuisses. Il manque le son discret, si discret qu'il faut être tout près et silencieux pour entendre, ce que font ses doigts en passant dans ses cheveux... Il manque la beauté de son sourire. Il manque l'intensité de son regard bleu dans le sien...Certainement, s'il ferme les yeux complètement et que ce dernier cesse de réprimer cette envie de cet individu qui grandit en lui, cette image prendra vie, auprès de lui. Il continue à détruire l’illusion que celui-ci s'est construite, consciencieusement. Ainsi le voilà dans la souffrance. Dans cette souffrance aigüe qui lui tord les tripes et lui déchire le cœur. Il serait long d’expliquer les derniers jours, très long. Long d’expliquer comment ces longs mois de doutes muets, d’abandon, de respect mal compris et finalement mal vécu de part et d’autre ont fini, combinés à un usage malheureux de la chimie, par se concrétiser en une boule dure et glacée, étoile noire qui a tout attiré dans sa masse avant que d’exploser à l'intérieur de Toru. Violemment. Kamikaze portant sa propre ceinture d’explosif, il semble s'être déchiqueté le premier. Le souffle a arraché la peau qui recouvrait ses yeux. La lumière a brulé sa rétine décillée, a accentué encore la douleur. Il a fallu accepter de voir, de regarder en face. Il a fallu accepter de dire, et d’entendre. Il a fallu voir le changement. Il se confronte méthodiquement à la souffrance, comme une brûlure d’acide à l’intérieur du corps. Deux jours passés allongés sous des piles de vêtements et de couvertures. Peau presque en ébullition, couverte d'une pellicule de sueur. Os glacés au plus profond. Les dominos continuent leur chute dans sa tête. Semaine après semaine. Les derniers à tomber ont enfoncé la dernière cloison. Le mur porteur de ce que Toru est. Le vide dans son ventre s'agrandit, entraînant tout dans sa folle gravité. Il est juste une enveloppe de chair, un squelette qui tient debout par le plus grand des hasards. Le jeune homme est vaisseau en mouvement sur son erre, un automate qui sourit. Au fond de son corps, celui-ci sombre. Irrémédiablement. Il y a toujours cette tristesse au fond de lui. Une âme sombre. Qui lui donne un air désabusé, quelque fois cynique. Elle l'accompagne, elle est là près de lui. Il la garde au chaud son amante, sa concubine Elle a un joli nom. Mélancolie. Il ne sait pas où est son âme. Dans ces profondeurs ou ces contrées lointaines. Dans le puits de son désespoir. Rien ne l’importe, rien ne le porte. Il se lève, il marche, il vit, sourit. Mais tout est mort dedans, tout l’indiffère. Il est tel un zombie. Et Takeshima Toru fait toujours semblant. Des camarades l’entourent, mais il les écoute à peine. Nostalgie. Au risque de tout briser, il ne veut pas s’attacher aux gens. Leur faire du mal. La peur. Il a peur oui. Peur de perdre l’affection que lui porte son entourage. Peur d’être trop impulsif. Souffrir à force de s'étreindre. Et se confondre dans la nuit. Souffrir sans gémir ou se plaindre. Sans un cri. Voilà tout ce que Toru se permet d’endurer. Son passé est beaucoup trop complexe pour vivre pleinement. Mais au fond de lui il garde espoir. Il est absent. De toute façon de quoi pourrait-il bien parler avec ses collègues ? Il ne se trouve pas très intéressant, pourtant il essaye. Mais rien y fait. Avant il faisait souvent des blagues. A croire qu’il en a perdu le goût. Oui il l’a perdu. Takeshima Toru est comme ça. C’est tout nouveau pour lui. Il n’aurait pas dû, il le sait. Quand bien même, il lui plaisait. Il le voulait à cet instant. Une forte sensation Mais à savoir si c’est un sentiment sincère, il ne peut pas y répondre. Tout est mélangé dans sa tête. Alors pourquoi est-il si triste ? Pourquoi a-t’il cette impression d’étouffer ? Juste de l’incompréhension totale. Il ne savait pas du tout ce qui allait se passer entre eux. Est-ce mal ? Avoir ressentit du désir envers une personne du même sexe ? On ne pouvait le blâmer. Certainement pas. Ressentir un désir si impérieux pour une personne, cela n'est pas une mauvaise chose.
Il regarde quelque part et elle apparaît dans le coin de son œil, cette silhouette qui n'est jamais comme dans son souvenir.Cet individu. Il ne se trouvait pas loin de lui. Cette vague crainte qui s'emparait à nouveau de son corps. Que faisait-il ici ? Toru ne savait pas s'il devait l'éviter en fientant l'indifférence, être en colère ou juste être embarrassé en sa présence. Mais le pourquoi, il ne voulait certainement pas comprendre. C'était une énigme à part entière. Quelque chose de spécial. Pourtant, il ne semblait pas pouvoir détacher son regard de celui-ci lorsqu'il le croisait en tout lieu. Il le toisait. Involontairement. L'observant de la tête au pied. Comme s'il fut la chose la plus étrange qui soit. Cependant, à l'instant précis, le seul point inhabituel était l'expression qui s'emparait du visage de Toru. Une sorte de psychopathe. Mais il ne pouvait s'en empêcher. Encore, et toujours. Etait-ce une pointe de jalousie ? Peut-être bien. Son Gaarachan... il l'appréciait énormément. Mais, pas vraiment Toru. Tout du moins, quelque chose n'allait pas entre eux. Et voici que cet être se trouvait dans le même lieu, le même rayon. Tout près. Si près qu'il ne peut éviter cet effleurement délicat. Leurs regards se sont croisés. Un bref instant. Notre Toru a retenu son souffle. Quel silence pesant. Trop pesant. Insoutenable. « Que regardes-tu de cette façon ? » Ce Uchida, il l'avait bien remarqué que celui-ci le lorgnait du regard. Ainsi donc, il était qu'un trouillard qui osait à peine tenir tête et fixer les gens droit dans les yeux. Toru le rendait-il si confus ? Dans un sens, c'était assez drôle. « Pour quelle raison te trouves-tu constamment en travers de mon chemin ? Tu m'espionnes ? Écoutes, on ne se connait pas assez. Tu n'es pas vraiment mon genre... un type comme toi... je ne vois pas ce que tu fais en ce lieu. Pourrais-tu me laisser tranquille maintenant ? Si tu as terminé ce que tu faisais ? » Décidément. Ce n'était pas de l'attirance que Toru ressentait à ce moment précis. De la pitié et une soudaine envie de le prendre et de le briser s'il continuait son petit manège. Le jeune Takeshima avait beau faire une telle demande, il ne bougeait pas. Telle une statue de marbre, le lorgnant cette fois-ci du regard comme si Uchida était le pire des goujat de la planète. Et pourtant, Toru ne pouvait mentir sur le fait qu'il le trouvait, malgré toute cette rage qui émanait de lui, désespérément, attirant.
Dernière édition par Kwon Na Yung le Jeu 23 Sep - 23:05, édité 8 fois |
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Jimmy l'octopus
messages : 150 je suis ici depuis le : 17/06/2010 animal de compagnie : une porte d'entrée en bois massif 'o'
| Sujet: Re: Captain Kwon Na Yung, pour vous servir (: Ven 25 Juin - 12:31 | |
| La sirène parcouru avec toute sa grâce l'allée centrale du réfectorium, s'approchant lentement du jeune sorcier qui venait de poser ses fesses sur le banc de répartition. Elle l'observa un instant, analysant les traits principaux de l'élève avant d'inverser le miroir, le reflet de ce dernier apparaissant dans la glace. Sa voix s'éleva doucement, comme une musique. « Je vois, je vois, Kwon Na Yung. » Les élèves autour se firent silencieux, attendant patiemment le choix de l'ensorceleuse. « Je vois en toi un grand désir de liberté. Je vois également beaucoup de ruse; peut-être serais-tu un Ineo ? Pourtant, je sais que ce n'est pas le bon choix. Non, en fait, tu es très sage. Intelligent aussi, tu as tout pour toi, mon cher. Je pense que ta sagesse et ta capacité à analyser avant d'agir te mèneront à GEOBUK. » Et alors que les voix s'élevaient et qu'on pouvait entendre les applaudissements des élèves de la table des Geobuk, une tortue apparut dans le reflet du miroir. |
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