Kyeon Min Ki
m messages : 2 je suis ici depuis le : 07/08/2010 love status : Euh, amour ? animal de compagnie : Un Phalanger Volant - Seoltang mood : Désintéressé je me trouve ici : ... Ici
| Sujet: « because i more strongly than anyone prayed ~ » Sam 7 Aoû - 14:58 | |
| FEAT; YU HA MIN. | FICHE D'IDENTITÉ ■ Min Ki, Kyeon ■ 16 ans ■ coréen nippon ( mère japonaise et père coréen) né à Abashin, au Japon ■ issu de parents moldus ■ phalanger volant (Comunément appelé «sugar glider») ~ Seoltang ■ disons simplement qu’il n'en sait rien et s’en fiche un peu de ce qu'il veux faire plus tard ■ Bois de saule, 30,5 cm. Contient une plume de phénix. POSTE VACANT ? oui/non. |
tell me your wish;
1. Qu’elles sont magnifique ces sirènes ! Seulement cette fois, malgré leur beauté magistrale et leurs chants envoutants, quelque chose vous empêche de les contempler comme chaque fois qu’elles passent près de vous. Peut-être est-ce simplement le fait que votre ami(e) de cœur se trouve malencontreusement pris(e) au piège de ces affreuses chimères ! Vous savez parfaitement que si vous les laissez partir avec elle/lui … votre copain(e) ne sera pas simplement invité au diner de ce soir ! Comment allez-vous remédier à cette situation ?
■ { Ami de cœur ? J’en ai un ? Bon, supposons que c’est le cas, bien que cela me surprendrait, la première chose que je ferais, c’est de pas me casser la tête des heures durant pour trouver un plan. Sinon, c’est des moyens pour qu’il se fasse manger avant que j’ai trouvé une quelconque solution. Il faut un plan, rapide, efficace et pas trop long à élaborer. Dans ces temps-là, inutile de réfléchir avant d’agir. Je tourne la tête vers la gauche, puis vers la droite … Des cailloux ? Faute de mieux, aussi bien faire ce qu’on peut avec ce qu’on a ! Et les attaquer à distance et une excellente idée, ça m’évite de risquer de tomber sous leur charme. Vraiment, ça me dégoute que de telles créatures ait ce genre de pouvoir. Et qu’est-ce qu’elles font ici, en plus ! Akiwa est pas censé être un lieu où on peux être en sécurité ? Si soudainement le directeur décide de nous imposer des défis de la sorte, c’est vraiment plus de la sécurité, là, finir dans le ventre d’un banc de sirènes … Bref. Donc, comme je le disait, faute de mieux, je leur lance les cailloux qui trainaient dans le coin. Ça devrait les déstabiliser un petit moment, nan ? Chaque seconde est importante et si elles pouvaient être assez surprises pour cesser de faire charme à mon copain – ou copine, qui sait – j’aurais suffisamment de temps pour empoigner le bras de ce dit copain et de le tirer loin de ces créatures immondes. De plus, comme elles seront déstabiliser, elle n’auront pas le temps d’effectuer leur charme sur ma pauvre personne, nee ? }
2. Deux de vos amis s'approchent de vous avec entrain, vous vous demandez ce qui peut bien les rendre si joyeux puisque demain vous avez tous trois examen de botanique. Ils vous annoncent donc avec enthousiasme que des élèves organisent une super fête ce soir à l'extérieur du château pour fêter la victoire de votre équipe de Quidditch. Vous hésitez car, bien entendu, vous savez parfaitement que l'examen de demain compte pour 40% de la note finale !
Choix B : Avec sagesse, vous déclinez simplement la proposition et faites la promesse de vous rattraper la prochaine fois. Vous êtes donc assis bien confortablement dans la salle commune où, bien entendu, vous êtes seul ! Seulement, habitué au brouhaha naturel de la pièce, vous sombrez rapidement dans les bras de Morphée. Des rires viennent soudainement perturber votre petite sieste et vous constatez que vos notes ont disparue ! Par la barbe de merlin ! Ce sont sûrement les élèves de deuxième année qui - depuis quelques temps - s'amusent à prodiguer de leur ingéniosité en farces et attrapes ! Vous devez par tous les moyens possibles récupérer ces notes !
■ { Bon, pas nécessairement parce que je suis quelqu’un de sage, mais je refuse. Je préfère réussir un stupide examen que de faire la fête avec une tonne de gens dont je ne connaîtrais pas la majorité. Mais bon, c’est pas ça la question, nee ? Donc, on me pique mes affaires ? Sympa. Maintenant je vais devoir passer mon temps à les chercher, c’est ça ? C’est fou ce que ça me tente. M’enfin, c’est un peu le prix à payer pour s’être endormi comme ça dans la salle commune. Bon, premièrement, faut savoir où ils les ont foutues, ces notes. Bien sur, je pourrais aller voir un copain de classe et lui demander de me passer les siennes un moment … Nan. Pas question. Bon, ok, je commence par fouiner un peu partout dans la salle commune, en supportant les rires qui fusent dans mon dos. De toute façon, j’ai l’habitude. Je cherche partout, comme un malade, dans chaque recoin. Pas de notes ? Grr. Ok, d’accord, dans les dortoirs, alors ? Faisons ça simple, je pense l’endroit au peigne fin, peu importe le temps que ça me prendra, juste pour ne pas aller devant ces deuxièmes années pour réclamer qu’il me les rende, ni pour demander à quelqu’un de m’aider. Je trouverais bien un jour et, une fois que je les aurais en main, j’étudierais le reste de la nuit s’il le faut, parce que je me connais ; puisque je suis pas sociable, je passe mon temps entre les balades solitaires et les études. Et je veux avoir des bonnes notes. }
3. Cette nuit, vous n'arriviez pas à dormir. Le couvre-feu est passé depuis déjà deux heures mais qu'importe... vous pourrez toujours dormir en cours le lendemain matin, cette vieille chipie ne vous apprend jamais rien de très bon de toute façon ! C'est pourquoi vous avez décidé d'aller passer le temps à vous aventurer dans les couloirs du château en attendant de trouver le sommeil. Cela fait bien une demi-heure que vous vous baladez librement lorsque... cette horrible vieille mule pointe le bout de son nez. Oh oui, vous l'entendez, vous pouvez parfaitement reconnaître le bruit de ses talons qui claquent contre le sol et résonnent affreusement sur tous les murs du château. Le professeur tournera dans votre couloir d'un instant à l'autre et il n'y a pas de fuite possible, vous rencontrez un mur derrière vous ! Comment allez-vous faire face à cette situation ?
■ { Sur le coup … Je panique un peu. Ouais, je sais, c’est idiot et ça sert à rien, mais je ne peux pas m’en empêcher, je me mets à faire une crise. Les idées tournent à une vitesse folle dans mon crâne et je cherche, je cherche quoi faire, où me cacher, quoi sortir comme mensonge. Après trois secondes, je me calme. Ça sert à rien de s’énerver comme ça. Oh, je sais ! Je prends un air inquiet, digne du meilleur acteur de sa monde, et je me met à farfouiller partout comme un débile en appelant « Seol ! Seoltang, où t’es ? ». Il me suit partout d’habitude, et, pour une fois, il dort dans mon lit sans m’avoir entendu me lever. Normal que je m’inquiète d’avoir « perdu » mon petit animal chéri, mon seul confident. Je continue de chercher, même si j’entends les pas de cette femme qui s’approchent et que mon cœur bat la chamade parce que, oui, j’ai quand même peur de me faire prendre et qu’elle ne me prenne pas au sérieux. Mes professeurs sont généralement au courant, Seol est toujours avec moi, peu importe où je vais. Un nouvel appel alarmé, et la dame s’approche de moi en me demandant ce que je fais à quatre pattes au sol à appeler du … sucre. Ouais, bon, j’avoue, Seoltang = Sucre. Pour le nom anglais de sa race, Sugar Glider. Oui, j’ai un côté mignon, moi aussi ! Et alors ? Donc je me redresse, gardant un air légèrement paniquer et explique la situation avec un air totalement sincère à cette chère prof, mettant le point sur le fait que Seol est si minuscule qu’il pourrait se faire bouffer par un chat. }
4. Un adulte que vous ne connaissez pas vous assure être un professeur d'AKIWA. Vous êtes nouveau, après tout, c'est très plausible que vous ne connaissiez pas encore tous les professeurs de l'académie... alors vous décidez de l'écouter ! Cependant, il vous demande quelque chose qui vous laisse suspicieux. Vous vous rappelez qu'il y a deux semaines, le directeur vous a confié un document classé confidentiel que vous ne deviez remettre à personne. La consigne était de ne le révéler à personne, pas même un supérieur ! Mais l'offre de ce professeur est alléchante, quand même... en échange d'un petit coup d'œil, il vous promet de vous faire passer le prochain examen et vous libère de toutes retenues jusqu'à la fin de l'année. A l'inverse, il promet de vous placer en retenue pour les trois prochains mois... que faire ?
■ { HAHA ! La bonne blague ! Non, mais, sérieusement, si c’était secret, comment il a pu être au courant ? Chelou, le mec. Pas question de lui montrer. M’en fiche d’être en retenu pendant trois mois, ça me fera des sorties pour les soirs à venir au lieu de rester enfermer dans la salle commune, étendu sur mon lit à lire des tonnes de bouquins. Désoler, bonhomme, mais je suis fidèle, moi, et quand je fais une promesse, je la tiens ! Je te connais même pas en plus, qu’est-ce qui me prouve que t’es un de mes professeurs ? T’as une licence ? Bon, bien sur, je ne lui demanderais pas ça. En fait, je me contenterais de le fixer longuement avant d’hausser les épaules et de me casser. Les retenues, je m’en fiche, ça me dérange pas. Et si le directeur a cru bon de me confier ce document classé confidentiel, c’est qu’il me voue une grande confiance et j’en suis vraiment honoré. On me fait confiance, d’habitude. De toute façon, j’ai personne pour me faire confiance, mais bref. Je respecte ma parole, il est totalement hors de question de trahir mes dires et de laisser quiconque mettre la main sur ce truc … Sauf moi-même. Maah, quoi ? Je suis trop curieux ! Et si c’est confidentiel, c’est que ça doit être important, nee ? Peut-être qu’il y a une chance que j’apporte mon aide à cette affaire. Je me prends pas pour superman, mais je dois avouer que résoudre des énigmes et être dans le feu de l’action me plaît … Même si personne peut vraiment savoir. }
5. C'est la dernière ! Dites-moi, jeune sorcier ; quel est votre avis face aux sorciers issus de parents moldus ?
■ { Je trouve totalement débile que des enfants n’ayant aucune hérédité magique soient des sorciers. À quoi bon ? La magie est-elle une chose si capricieuse qu’elle s’amuse à voleter d’un humain à un autre juste par plaisir ? À ce que je sache, les moldus n’ont jamais demandé à devenir des sorciers ! Alors pourquoi certains enfants le sont ? Pourquoi d’autres non ? Qu’on me comprenne, je ne pense pas que parce qu’on est issu d’une famille moldu, on ne mérite pas d’avoir des pouvoirs. Mais, comment c’est possible tout de même ? Je considère ces gens … Ou plutôt, je nous considère, aillant moi-même des géniteurs moldus, comme des curiosités. Des sorcier, pas extraordinaire, mais pas … dans la norme. Sans nécessairement, non plus, les classifier en tant que bien ou mauvais. Juste comme une bizarrerie, une fantaisie de ce monde, un simple caprice d’on ne sait qui. Ils sont étranges. Je suis étrange. Mais qui a dit qu’il fallait tous être semblables ? } ■ Neiroh ~ ■ trop de monde qui m’en on parler (Adee, Sv, Nate … XDD ) ■ je passe pratiquement tous les jours … Je post un peu moins souvent par contre XD ■ j’ai pas pu résisté au forum TwT ( comment ça, j'ai sauté sur l'occas' de Yu Ha Min libre ? éè ) ■ EXEMPLE RPG ; - Spoiler:
Pour Yuki, c’est un désastre qui venait de s’abattre sur ses épaules. Pire que le déluge ou les sauterelles. La fin d’un monde, l’apocalypse. Ce qu’il avait connue s’écroulait autour de lui, laissant à ses pieds de simples souvenirs, trop peu importants pour lui apporter un quelconque réconfort. Il avait perdu tout point de repère, se retrouvant sans balise pour lui montrer le chemin qu’il devait prendre. La tête basse, il essayait tant bien que mal de retenir ses larmes. Pleurer en public, c’était plutôt déshonorant. Pas question de se laisser aller à de telles futilités. Même si cela pouvait lui enlever ce poids qui pesait étrangement sur ses épaules. Dire que à peine quelques minutes plus tôt, l’ex maiko se sentait léger, heureux. La pluie qui s’abattissait sur ses épaules reflétait ses sentiments, ce ciel gris, morose, à l’image de l’expression de son visage, les gouttes d’eau personnifiant les larmes qu’il ne voulait pas verser. Pour la deuxième fois, il avait perdu sa famille, se retrouvant encore comme le bébé nouvellement né qu’il était plusieurs années de cela, dehors dans une ville inconnue qui semblait soudainement bien effrayante. Si tout allait si bien pour lui au début, c’était grâce au soutient constant de ces femmes qui prenaient un si grand soin de lui. Et déjà, avoir perdu sa chère Senhime avait été un grand choc. Il avait l’impression de perdre une partie de lui-même. Yuki n’était pas de ce monde. Pas de cet endroit technologique. Il n’avait aucun lien avec ces gens qui passait près de lui, accordant un simple regard stoïque à sa silhouette frêle., se fichant bien que cet adolescent risquait d’avoir un gros rhume, peut-être même pire s’il restait là encore longtemps. Et c’est maintenant, seulement, que le garçon le réalisait. Peu importe les efforts qu’il ferait, il y aura toujours une partie de lui qui ne s’adaptera jamais. Le «lui» d’avant, qui portait des kimonos, dont les cheveux atteignaient les hanches et qui dansait pour des clients payant le prix fort pour assister aux soirées traditionnelles des geishas. Même s’il s’était accroché aussi fort qu’il pouvait à ce qui lui restait de ce temps où il était «lui-même», l’ex maiko n’avait pas eu de résultat. Il avait quand même perdu. Il s’était perdu, tout simplement. Perdu à cause de ses illusions que tout ça, c’était qu’une blague. Qu’il ne resterait pas longtemps seul dans cette ville trop grande et que bien vite, on viendrait le chercher à nouveau, l’accueillant à bras ouverts pour la seconde fois dans cette famille à laquelle il avait fait toujours partie. Mais non. Ses illusions avaient volé en éclats, entaillant par le fait même ses bras et ses joues, rougissant sa peau blanchâtre, le faisant souffrir de cette perte trop grande pour lui. Aussi loin qu’il pouvait s’en souvenir, Yuki n’avait jamais vécu ce genre de déception. C’est surement pour cette raison que sa douleur était si forte. N’est-ce pas la première fois la plus douloureuse ? D’un geste las, il releva à peine son bras, rendant l’écran de la caméra numérique visible à ses yeux. La pluie eue tôt fait de le recouvrir de petites gouttes d’eau cristallines, donnant un effet étonnamment beau, s’harmonisant de manière merveilleuse avec la gracieuse femme cachée sous son ombrelle. Le garçon déglutit et, plaquant son bras contre ses yeux, il se répéta inlassablement dans sa tête « Ne pleures pas, ne pleures pas … » même si l’envie de le faire ne manquait pas. On croit souvent que les hommes ne sont pas sensibles. Et ceux qui le sont se font souvent jugé pour cela. Donc il n’y a pas de juste milieu. Mais où est le mal à avoir cette envie de verser des larmes quand un drame se produit ? L’ampleur de cette perte peut être dure à cerner pour certain. Mais ceux qui jugeront trop vite n’auront qu’à se mettre à sa place et s’imaginer ce qu’ils feraient en perdant leur famille. De plus, tout avait trop changé. Trop vite. Trop drastiquement. Maintenant, il le savait, Yuki haïssait le changement. Il détestait ça. C’est fou, le nombre de choses qui se passe quand on subi un choc émotionnel. Fou comment on peut se mettre à détester des choses qui, quelques instants plus tôt, faisaient notre bonheur. L’être humain est quelque chose de fascinant… Une gouttelette de pluie glissa le long de sa nuque, lui arrachant un frisson soudain et le ramenant à moitié à la réalité. Il tremblait de froid. Ses habits étaient complètement trempés. Ses cheveux étaient plaqués sur son crâne, des mèches tombants devant ses yeux après qu’il eu laisser retombé son bras le long de son corps. Des frissons couraient le long de ses bras et des gouttes d’eau qui parsemaient son visage coulaient doucement le long de ses traits, atteignant le bas de sa mâchoire pour ensuite se glisser le long de son cou. L’eau était froide. Trop froide. Comme un lac gelé. Ou un petit étang. Comme celui qu’il y avait près de l’okiya, où on y mettait des poissons l’été… Arraché à ses souvenirs, Yuki sursauta. Tournant légèrement la tête et relevant les yeux, il croisa ceux de … Shin ? Sur le coup, voir ce visage familier eu un effet réconfortant pour l’ex maiko, même s’il ne datait pas de sa vie « d’avant ». C’était quand même Shin, son sempai, celui avec qui il pouvait parler des heures de photographie, demander des conseils et de l’aide. Et de l’aide, il en avait bien besoin. Réalisant que Shin venait de le traiter d’idiot, le garçon rebaissa la tête, murmurant à son attention. Oui, il l’était, idiot, en ce moment. Si Shin n’était pas arrivé, Yuki aurait pu y passer la journée à ressasser de vieux souvenirs, sous la pluie, manquant de près de finir avec une hypothermie. Serrant un bras contre son torse pour se réchauffer un peu – l’autre tenant mollement son parapluie, qu’il semblait avoir oublié – il entendit ses dents claquer les unes contre les autres.
Dernière édition par Kyeon Min Ki le Sam 7 Aoû - 16:43, édité 4 fois |
|