kangjaehyun

Délicieuse victuaille, roi des succubes, Dieu existe. Tout en lui m'appelle à la Tentation et c’est sans hésitation que je me laisse tenter par ce démon de la luxure. N’est-il pas sublime ? Je suis loin de le considérer comme mon idéal, mais il s’en rapproche. Tout en lui respire le désir, la luxure et le vice dont il est détenteur. Et lorsqu’il me prend pour danser chaque nuit , je crois mourir de plaisir dans les flammes de l’enfer. Et malgré ce désir omniprésent, je ne fais que le détester, je veux le rouer de coups pour ensuite l’embrasser et dormir avec lui. Il est mon amant.

kangtaehwan

Comme les yeux des Shinigamis, Tae Hwan est le genre de personne à lire en moi comme dans un livre ouvert. Et c’est avec une délicatesse innée qu’il tourne mes pages et entrevoit dans mes lignes. Peut-être même, qu’instinctivement il a commencé à écrire mon histoire, tout ce qu’il veut, s’inscrit entre mes interlignes. Belle écriture, éphémèrement juvénile. Autrefois Loup Blanc qui pourfendait ma chair de ses crocs, il est devenu le félin qui lape mes blessures pour les guérir. Tae Hwan, je l’avoue en toute sincérité en ce jour, je l’aime de tout mon cœur. Je suis convaincu que si l’on me fait du mal, il arrache quelque chose à mon agresseur. Autoritaire par excellence, il me surveille constamment, que ce soit dans mes gestes ou dans mes fréquentations. Et pourtant, notre attente n’a pas toujours été là, on ne pouvait pas se supporter. Je me demande ce qui a fait le déclique ? Je suis sa petite protégée, et il est mon grand frère de cœur.

uhmjoonghyeon

It was a rainy days. Jour de pluie, solitude au creux de la main. Alors que je me rendais d’un pas lourd à la salle commune, je percute une silhouette. C’est avec irritation que je n’ai pas hésité à cracher mon venin. Uhm Joong Hyeon ? Je ne connaissais pas. A vrai dire, je n’en que faire des autres, donc je n’ai jamais eu l’occasion de lui parler jusqu’à ce jour. Suite à ce malheureux accident, une joute verbale s’en suivit et enragée, je lui ai hurlé dessus. Enfin bon, tout ça pour dire que l’on ne s’entend pas à merveille. ON adore se taper sur la gueule, oui. Il m’agace au plus haut point, et pourtant je ne le remballe pas comme les autres. Je crois qu’au fond, je l’aime bien, oui, il est l’un des rares à savoir me tenir tête.Tu me rappelles mon MOI d‘avant. T'es quelqu’un d’attachant et désinvolte. Mais j'arrive pas trop à te cerner. Parfois tu me colles sans relâche et d'autres fois je te vois pas pendant des journées. Tu sais que ça m'inquiète. J'aime pas te savoir ailleurs... je voudrais pas que ça finisse mal.

leekessy

Dieu créa l’Homme à son image. Il créa la femme pour subvenir à l’homme et vice versa. Alors une femme avec une femme, et un homme avec un homme est inconcevable pour moi, et Kessy, lui, il l’a compris. A vrai dire, si je me m’entend bien avec lui, c’est parce qu’il me comprend et j’en suis heureuse. Et ce qui est encore plus extraordinaire, c’est qu’il partage mon point de vue, puisque lui aussi, il est gêné par tous ces homosexuels. Après tout, Oscar Wilde a dit « Si Adam était homosexuel, personne ne pourrait en témoigner ». Il n’a pas tord, alors stop de forniquer avec votre propre sexe, quel infamie, non mais vraiment. Kessy, c’est un ami quoi.

hwangchulhei

GAY ! HORS DE MA VUE è___é

Oui, tout en toi m’insupporte avant même que je ne te connaisse pour ce que tu es vraiment. En effet, tu as beau être adorable et gentil à souhait, tu es un gay, et c’est impardonnable. Je te déteste. Et malgré ma haine envers toi, je te dragues. Enfin, du moins j’essaye de te faire changer de bord, mais ça marche pas. Quelle humiliation. J’ai beau m’habiller en mode sexy, me déshabiller devant toi, tu ne triques pas à la vue de mon corps sublime. Je te jure, que si tu continues à me négliger ainsi, tu connaîtras mes coups aussi douloureux que mortels. Vigilance constante !

baekjun

Alors que mon monde ne se limitait qu'a la fenêtre de ma chambre, un cri de douleur se déchira dans la maison cachée de la Lune. Un ennui morbide qui se transforma rapidement en une allégresse palpable. Lorsque je ferme les yeux, je peux apercevoir ton visage me sourire. Lorsque je susurre ton nom, je vois ton regard s’illuminer. Quand tu es loin de moi, je me replis sur moi-même, dans une position fœtal, ta présence m'est fondamentale. Un jour, si je devrai cavaler, je ne le ferai pas pour sauver ma peau, mais quelque chose d’infiniment plus précieux. Ma propre survie ne pèse rien du tout à mes yeux à côté de toi. Il est possible de fuir celui que je crains, de lutter contre celui que je hais. Je sais réagir à ce genre de situation. Mais lorsque j'aime mon détenteur, je n'ai pas le choix cependant. Car comment fuir et lutter si cela signifie te blesser ? Car la seule chose à te donner, comment te la refuser ? Quand je t'aime vraiment ? Alors que je plantais mes yeux perles dans ton regard si mignon malgré ton mal être, j'avançais doucement, prudemment, de peur de te froisser. Tu es si petit, une petite, toute petite petite petite, petite petite petite fleur que je ne dois pas cueillir au risque d'entraver ton éclosion. Prudemment, avec douceur, je pose ma main sur ta joue pourpre, un sourire aux lèvres, les yeux rivés sur ton regard captivant, dont je ne pouvais pas me détacher, je te dis pour la première fois : Je t'aime Jun. Cette simple phrase remonte maintenant à un quatre ans auparavant. Je n’étais qu’une banale sorcière parmi tant d’autre. Lors de ma répartition chez les Ineo, celui qui se tenait à mes côtés, c‘était Jun. Je ne saurais dire si j’étais tombée amoureuse de lui dès lors où je l’ai vu. Mais quoiqu’il en soit, instinctivement nos regards se sont croisés. […] Bref, tout ça pour dire que ça a été ce qu’on appelle le coup de foudre. Nous sommes sortis ensemble pendant quelques mois, mais voyant que notre relation ne changeait pas des masses par rapport à notre amitié, nous avons rompus .. Il est mon meilleur ami. Celui avec qui je me sens le mieux, je n’ai pas besoin de me forcer pour rire. Oui, je l’aime. Et quand l’amitié se couple avec l’amour, Dame Ambiguïe et au rendez-vous.

shinodayutsuki

Marcher la tête haute et passer devant des chuchotis à mon égard sans broncher est chose courante. Rapidement, il m’est aisément facile de me mettre une personne à dos de part mon attitude sombre et désinvolte, ainsi que ma répartie omniprésente. Cependant, je ne peux m’empêcher de cracher mon venin dans n’importe quelle situation. Et les ennuis me poursuivent sans cesse, à croire que je suis marqué du sceau de la catastrophe. Durant une journée anodine, une de mes anciennes victimes, ayant mal digéré que son mec soit passé dans mon lit, me coinça avec quatre autres mecs. Fidèle à moi-même, j’ai jeté l’huile sur le feux et son escorte me sauta dessus. Plus aussi confiance qu’auparavant, je perdis rapidement de mon arrogance et la peur pris possession de mes membres. Alors que je pensais qu’espérer serait vain, tu es apparus de nulle part et tu m’as défendu. Tremblante de peur, je me suis jeté dans tes bras pour y pleurer. Et mon orgueil dans tout ça ? Je l’ai mise au placard. Tes bras si forts me rassurèrent alors que je n’arrivais plus à stopper le flot intarissable de mes larmes. Je t’ai serré si fort pendant un laps de temps qui me sembla des heures. Et au lieu de me repousser, tu m’as serré un peu plus fort contre toi. Aucun mot n’est assez beau pour exprimer ma gratitude. Malgré ton masque de brute, j’ai su percer en toi et j’ai ainsi gagné le privilège d’être la seule à te faire des câlins. Je sais que si jamais on me touche, tu frapperas, merci.

okminguk

GAY ! HORS DE MA VUE è___é NON, REVIENS TT

Normalement, je t’aurais envoyé mon poings dans la gueule. Et gisant au sol, à moitié mort, je me serais penché sur toi pour te dire : « Comment peux-tu me trahir ainsi ? ». Mais il n’en est pas ainsi. Pourquoi ? Peut-être parce que je t’adore ? Oui, même si je ne l’avais pas su, je t’aurai aimer quand même. Que tu sois toi aussi un homosexuel me brise, car je ne les supporte pas. Je sais très bien que cela t’énerve, mais je suis moi, alors accepte le ? Enfin, tu le fais déjà, mais pardonne moi du moins ? J’essaye tant bien que mal de te faire changer d’avis, en t’apportant des arguments qui me semblent convaincant, mais tu es aussi entêté que moins. Deux mules, l’une veut tourner à droite et l’autre à gauche, si ce n’est pas amusant ? Mais j’ai peur, car je sens que je vais bientôt te perdre si ça continue, ne me laisse pas. S’il te plaît …

choisoorin

On porte le même nom de famille, on sait ! Pourquoi ? Oh, bah c’est ma cousine paternelle. Donc oui, on se connait depuis sa naissance, car je suis de trois ans son aînée, sa Noona quoi. A vrai dire, on a connu une enfance très mouvementée, on ne s’entendait pas trop à vrai dire. Les filles me direz-vous, on n’a jamais su pourquoi on se crêpait le chignon, peut-être une sorte de rivalité précoce ? Soo Rin était constamment plongé dans ses bouquins, ça me faisait presque pitié, j’ai toujours été studieuse aussi, mais pas à ce point, il y’a étudier qui rime avec s’amuser aussi. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui encore, on s’engueule toujours, mais pour des choses moins futiles. Surtout, on est proche, enfin pas comme le sont des sœurs, mais on délire, donc on peut dire que l’on est, non ?

kijiroryuji

Lui c’est Ryry, et moi Loulou ! Alors que le soleil se levait comme un cheval blanc, un petit rayon de soleil vint tâter mon corps étendu dans l’herbe. Brise de printemps, doux rayons, respiration haletante, regard curieux, florilège de sensations. Alors que je ne cherchais que refuge à ma solitude, te voila qui apparait devant moi, ou du moins un des verres d’eau que tu essayais de faire léviter par magie. Et Splash ! Le contenus se renverse sur moi, sensation de mouillés, l’eau fut au rendez-vous de notre rencontre. Depuis ? Tu es devenu quelqu’un de très important pour moi, mais depuis peu, je sens comme chez toi un certaine animosité lorsqu’il s’agit de parler de mes fréquentations, en particulier Jae Hyun. Pourquoi tant de haine envers lui ? Tu peux m’expliquer ?

ishiharasora

Sora, c’est ma copine à moi et pas à toi ! FOOOO~

Alors que le vent dérangeait la plénitude de la surface de l’eau, un bruissement d’herbe, une ombre, c’était elle. Cela remonte à cinq ans, et je m’en souviens comme si c’était hier. Une occupation qu’on a en commun, une occupation qui nous lia le cœur. C’est ma meilleure amie, la personne avec qui je ris, sans me forcer, à qui je confie tout sans tabou. Je crois que je n’ai pas besoin de m’étaler sur des lignes, je l’aime c’est tout.

kimhyorin

Revenge is a Dish Best Savored Cold.

Alors … elle ? Si je pouvais, j’aimerais ne pas vous en parler, mais comme cela semble être le protocole à suivre, je suis donc résigné à m’y contraindre malheureusement. Kim Hyo Rin, plus communément appelé La Batarde ou encore la Pouilleuse, en politiquement correct, s’il vous plait. Cette femme, c’est viscérale, je ne peux pas la voir en peinture. Dieu, qu’ai-je donc fait l’voir pour cousine ? Vous me direz qu’elle est tout de même de ma famille, que je ne devrais pas être aussi dure avec elle, mais bordel ! Fille de mon oncle, qui trompa ma tante en allant forniquer ailleurs, et voila qu’il nous ramène cette imbécile. Elle a beau être la demi-sœur de Soo Rin, donc ma cousine aussi, je ne la reconnaîtrais jamais comme telle, jamais !

erikahanae

UNDERCO.

kimjonghae

Nuit sombre. Juste assez d’éclairage pour me permettre de voir mes pieds. Je n’avais que 11 ans, j’errais dans les rues à la recherche d’une réponse. Je savais pertinemment que personne ne pourrait répondre à ma supplique, que ce soit moi ou les autres. Je n’avais donc plus qu’a errer dans les rues du quartier. Il ne faisait pas noir à proprement parlé, disons que le soleil se couchait comme un cheval noir à l’horizon. Peut-être était-ce ma volonté à ne plus ressortir de mon trou béant, mais quoiqu’il en soit, je n’avais pas prévu de le rencontrer de cette manière. Si j’avais su .. Nuit Sombre. Juste assez d’éclairage pour voir que je venais de percuter un jeune homme. Je me souviens l’avoir étudier du regard. Grand, d'une carrure athlétique malgré son jeune âge ..un Don Juan comme on en fait plus. Je ne le savais pas à l’époque, mais la première phrase qui franchit le seuil de ma bouche fut « Bouges ! ». A vrai dire, dès mon plus jeune âge, je possédais déjà mon caractère sombre et taciturne. Un regard plein de mépris, je le contourne pour m’en aller. Je ne saurais même plus vous dire à quel instant, Jong Hae alias Jongie, pour le style soit dit en passant, est entré dans mon cœur et mon estime. Était-ce parce qu’il avait bravé tous les dangers de la vie pour arriver devant moi, en sueur, en pleine nuit, pour dormir à mes côtés, au pied de mon lit qui était dans le temps mon bourreau ? Un geste qui m’attendris sans même que je puisse m’en rendre compte, il était devenu essentiel à ma vie. Une simple témérité devint rapidement une habitude, chaque soir,Jong Hae était à mes côtés pour lutter avec moi contre mes cauchemars qui me torturait l’esprit. Une amitié assez étrange en soit, désormais à rude épreuve aujourd’hui. En effet, ce que je craignais le plus arriva, par je ne sais quel coup de tête, monsieur ne donna plus de nouvelles du jour au lendemain. Un acte qui jeta un froid entre nous, légèrement distante, je ne sais plus sur quel pied danser avec lui ..ça me brise.

choijungsoo

Sous cette bise hivernale, j’errais dans les rues désertes en raison de la température rude. Alors que mes pieds s’enfonçaient dans la neige pour y laisser des traces de mon passage, un passage qui s’estompera d’ici le lendemain, je ne savais plus où me rendre. Sans même le toucher, sans même sentir l’étau de sa main se resserrer contre ma gorge, j’étouffais. Il me tenait entre ses griffes, je n’avais aucune échappatoire. C’est dans cette pensée que je déambulais avec absence dans la ville. Sans même m’en rendre compte, je m’étais rendue à l’entrée d’un parc reculée de la ville. Intriguée, j’y entre afin de m’assoir à un banc, camouflé par une haie, un jeune homme derrière moi jouait de la guitare. Son nom ? Je ne le connais pas. Et pourtant, notre relation, si je peux me permettre d’avoir la prétention d’user de ce mot, n’est pas quelque chose de vraiment concrète. En effet, je ne sais pas s’il sait que j’existe et pourtant lui, il existe à mes yeux. Je ne connais pas son nom et pourtant il existe de par sa prestance lors de ces minis concerto, dont j’ai la prétention d’y assister clandestinement. Je m’en fiche, il m’apaise par sa mélodie.